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 Côtes de porc
         à la mode bretonne

 

 

 

 

 

Un classique breton, incontournable, qui défie les tendances...

 

 

 

 

 

 

 

côte de porc charcutiere 

  Dans les verres, un Côtes-du-Rhône.


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Ingrédients pour 4 convives

  • 4 Côtes de porc dans l’échine

  • 1 cuillère à soupe de concentré de tomates

  • 150 g de cornichons ou mieux : 100 g et 50 g de câpres

  • 2 oignons

  • 2 gousses d’ail

  • 1 cuillère à soupe de moutarde forte de Dijon

  • Beurre

  • Thym, laurier et Estragon

  • Huile & vinaigre

  • Sel & Poivre

3 tomates, épluchées et concassées, pourront être incorporées aux oignons.
L'on pourra accompagner ces côtes de porc bretonnes de flageolets...

Indications de préparation

  • Émincer les 2 oignons, piler l’ail.

  • Dans une sauteuse dorer les côtes de porc salées et poivrées dans un mélange de beurre et d’huile chaud, 6 min chaque face, sur feu moyen.
    Retirer et réserver.

  • À leur place blondir les oignons sur feu doux.

  • Déglacer avec 1 cuillère à soupe de vinaigre et 1 verre d’eau.
    Ajouter le concentré de tomates, du thym émietté, du laurier brisée, l’ail pilé et une pincée d’estragon.
    Saler, poivrer.
    Laisser mijoter 5 min à découvert.

  • Dans un bol fouetter la moutarde avec un peu de sauce. Verser le tout dans la sauteuse.
    Laisser cuire sur feu très doux.

  • Couper les cornichons en fines rondelles.

  • Passer la sauce au chinois, puis ajouter les rondelles de cornichons.

  • Dresser les côtes de porc sur le plat de service, napper de la sauce bien chaude .



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans les Mabinogions - récits médiévaux, rédigés en gallois du XIIe siècle au XVe siècle, le porc apparait progressivement comme un animal mythique.
Par ailleurs, ce fut aussi l'un des aliments de base chez les Celtes qui le consommaient bouilli. Cet animal participa à la renommée des "Gaulois", dès lors que ces derniers acquirent une parfaite maitrise de la salaison.
Le porc breton s'inscrit dans une très longue tradition...

 

"Sur cette péninsule d'Armorique, la mer et la terre, qui se combattent dans un corps à corps qui les fait s'épouser intimement, ont formé 2 types d'hommes qui cousinent dans la méfiance et s'épient dans l'amour, le paysan et le marin", écrit jean Ferniot.

La cuisine bretonne ressemble en fait à la Bretagne elle-même, sans manières, sans sophistication et avec franchise.
Poissons, coquillages et crustacés se suffisent le plus souvent à eux-mêmes, sans apprêt compliqué.
Quant aux fars, crêpes et légumes, ils étaient, peu de temps encore, nourritures de pure frugalité.
On aurait tort cependant de croire qu'il n'existe pas de gastronomie bretonne. Le célèbre Curnonsky (1876-1956), s'exclamait: "Voilà 50 ans que je crie sur tous les toits que la Bretagne est une admirable région gastronomique méconnue!".
Par ailleurs, le recueil de recettes de Simone Morand, publié en 1965 sous le titre de Gastronomie bretonne, référence absolue en la matière, reste la preuve incontestable que la Bretagne possède une forte personnalité en la matière.
Poulet de Janzé et andouille de Guéméné, huîtres de Belon ou de Cancale, sardines à l'huile et beurre salé, cidre de Fouesnant et fraises de Plougastel, sel de Guérande et canard de Challans, crêpes dentelle et galettes sablées... On pourrait croire que la Bretagne se résume facilement à quelques appâts gourmands.
En fait, les vraies recettes du terroir prouvent que ce pays d'iode et de landes recèle bien des surprises...

 Briton, Britannus, Britton, Breton....

 

 

 

 

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Le cornichon

Cuccumis sativus L.

4 variétés, 15 hybrides se distinguent par l’aspect et la taille.
Originaire d’Asie tropicale, ce ''légume'' ou condiment est rafraîchissant et a une consistance croquante. Sa flaveur dépend directement des autres condiments et du vinaigre qui sert à le conserver… Une spécialité délicate, typiquement française qui sert de condiment pour les viandes froides et autres charcuteries.
Indispensable autour du pot-au-feu ou de la poule au pot...



La Câpre
Capparis

Petit arbuste épineux, vivace de 1 m de hauteur, le câprier croit à l’état sauvage sur les zones rocheuses méditerranéennes. Les boutons floraux et les fruits sont désignés sous le nom de câpres en cuisine.

Ils sont conservés dans le vinaigre – pickles – ou en saumure, dans des récipients hermétiques. Les câpres entrent dans la recette de la tapenade provençale ... c'est un ingrédient privilégié de la cuisine méditerranéenne. Ils ont une flaveur aigrelette, fruitée et piquante.