Salade estivale
d'émincé de bœuf
Pas trop cher, simple à réaliser, une salade estivale "complète" délicate
et finement
relevée....
Ingrédients pour 2 convives
1/2 grosse laitue
1 carotte
1/2 poivron jaune
75 g de tomates cerise
100 g de viande à steak (bavette ou rumsteack)
Sel & poivre
1 cuillère à soupe d'huile végétale
1 cuillère à soupe de basilic frais haché
40 g de yaourt nature maigre
1,5 cuillères à soupe de parmesan frais - râpé
1,5 cuillères à soupe d'oignon - haché finement
1,5 cuillères à soupede mayonnaise
1 cuillère à soupe de persil frais - haché
1/2 cuillère à soupe de vinaigre de vin
1/2 gousse d'ail - écrasée
Indications de préparation
Laver la salade, la passer à l'essoreuse et en faire une chiffonnade.
Laver et éplucher la carotte et ta tailler en bâtonnets de taille moyenne.
Éliminer les parties abîmées du poivron, le laver et le couper.
Laver les tomates et les couper en 2.
Disposer les légumes sur 2 assiettes.
Couper la viande en lanières.
Chauffer et graisser légèrement une poêle antiadhésive.
Saisir Les lanières de viande 2 à 3 min de tous côtés, la viande conservant une coloration rosée.
Retirer la poêle du feu, saler et poivrer la
viande.
Ajouter le basilic.
Déposer la viande tiède sur les légumes.
Composer une sauce avec le yaourt, le parmesan, l'oignon, la mayonnaise, le persil, le vinaigre, l'ail, le sel et le poivre et la servir en accompagnement de la viande.
Le parmesan s’utilisait déjà râpé sur des pâtes au XIVe siècle. Il fut introduit France par une duchesse de Parme qui épousa un petit fils de Louis XV.
Le véritable parmesan d’origine, ''parmigiano
reggiano'', - région de Parme en Émilie - est l’un des
fromages les plus connus au monde.
Avec sa particularité d’être consommé presque uniquement râpé.
Salé et parfois très piquant, il fait partie intégrante de la
cuisine italienne.
Sa fabrication dans les provinces de
Parme, de Mantoue et de Bologne s’effectue entre le 15 avril et
le 11 novembre.
Protégé par une D.O.C, il est fabriqué à partir de lait de vache
partiellement écrémé, puis plongé dans la saumure durant 2
semaines avant d’être mis à affiner (1 an au moins, jusqu’à 4
ans pour le ''stravecchio''). Avec 32% de m.g
seulement, sa pâte pressée et cuite, sous croûte noirâtre
(enduite de terre d’ombre broyée et d’huile), est dure, friable
et cassante, de couleur jaune paille, avec une saveur fruitée,
parfois piquante qui s’impose longuement en bouche.
Cette consistance granuleuse lui a valu le nom générique de
''grana'' donné aux fromages italiens à râpé du même type, comme
le ''bagozzo Brescia''.
Il est toujours préférable de le râper soi-même, avant emploi,
plutôt que de l'acheter en sachet de râpé.
Mais on peut le présenter aussi en dégustation, découpé en copeaux avec un couteau ou poinçon spécial, et servi avec un Lambrusco bien charpenté...
De la même famille que le piment, le poivron originaire d’Amérique du sud gagna l’Amérique du Nord puis les Caraïbes. Christophe Colomb le ramena en Europe. ''Corail des jardins'' au Brésil, ''Corne de corail'' en Italie, ce fruit-légume était quasi inconnu il y a encore 50 ans, bien qu'apparut en Europe au XVIIe siècle.
Le poivron se nomme ''Piper'' en Latin et en Béarnais. Il est la base de la ''piperade'', spécialité Basquaise. Il fut tout d’abord utilisé dans la cuisine du Midi, à partir du XVIIIe siècle, particulièrement en Provence. Il commença sa carrière plus tôt en Italie, en Espagne, en Roumanie et bien sûr en Hongrie, où il est cousin du célèbre paprika. Ce nouveau venu dans nos livres de cuisine, n’est mentionné sérieusement comme légume à cuire qu’après la Seconde Guerre mondiale. C’est aujourd’hui un légume de choix de notre cuisine contemporaine. Les poivrons peuvent accompagner œufs mimosa, salade de tomates, olives, purée d’aubergines, poissons, viandes froides, etc...