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 Cuisses de garenne confites
      à la provençale

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au frais, ce confit se conserve dans son huile plusieurs semaines.
Par ailleurs, Le lapin ne doit pas frire pendant la cuisson.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 








Ingrédients pour 4 convives

  • 4 Cuisses de lapin

  • 3 Gousses d’ail

  • 3 Feuilles de Laurier

  • Quelques branches de Thym

  • Quelques brins de Romarin

  • 80 g de sel

  • Huile d’olive de Provence

Indications de préparation

  • Enlever tous les petits os des cuisses de lapin en ne laissant que l'os principal. Brider chaque cuisse afin qu'elle conserve sa forme.

  • Mettre le sel, 2 feuilles de laurier, de thym et de Romarin dans un saladier puis ajouter 1 litre d’eau en mélangeant afin de dissoudre le sel.
    Ajouter les 4 cuisses de lapin, laisser mariner 3 heures au frais...

  • Égoutter et plonger les cuisses dans une jatte d’eau.
    Laisser tremper 2 h en renouvelant l'eau plusieurs fois.

  • Égoutter les cuisses, les essuyer avec du papier absorbant.

  • Placer le lapin dans une terrine. Couvrir d'huile d'olive. Ajouter l'ail, le reste du thym, de laurier et de romarin. Couvrir et enfourner.  

  • CUISSON à four chaud Th 4 - 180°c pendant ± 30 min. au four.
    Baisser la température à Th 1 - 120°c et continuer la cuisson jusqu'à ce que la chair se détache des os...

  • Laisser le lapin refroidir dans l'huile. 

  • Pour servir, égoutter les cuisses et les mettre à dorer de 20 à 30 min à four chaud Th 6, 200°c.

 



 

 

 

 

 

 

 

 

Antérieurement la région était peuplée de Celtes appelés aussi Ligures ou Celto-Ligures.
Le littoral provençal fut colonisé par les Grecs vers ± 600 av. J.-C. Les Phocéens s'installent à Marseille (en grec, Massalia; en latin, Massilia), puis essaiment à Nice, Arles, Agde, et au sud de Nîmes.
la Provence doit son nom à l'époque romaine qui la connaissait comme Provincia (une des nombreuses provinces romaines). La Provence fit partie de la Gaule Transalpine, rebaptisée Gaule Narbonnaise au 1er siècle av. J.-C. Ancien comté, elle devient province royale française en 1481.
De fait, culturellement et touristiquement, la Provence s'étend jusqu'à l'est du Gard, au-delà du Rhône jusqu'à Nîmes, et jusqu'au sud de l'Ardèche et de la Drôme.
La cuisine provençale c'est du soleil dans l'assiette ! Un festival de saveurs, de parfums et de couleurs qui aiguisent appétit et bonne humeur. On retrouvera le charme des balades dans les collines de Provence : les odeurs de thym, de romarin, de basilic et même de lavande !
L'huile d'olive règne en maîtresse vénérée sur la cuisine provençale, elle accompagne avec bonheur les légumes : poivrons, tomates, aubergines... ou les viandes et poissons.
Dans les collines, le sanglier est une pièce de choix. Au pays des chasseurs, la tradition du "cochon" porte au premier plan cette viande dans les menus. Mais le poisson qui se mange sur la côte n’est pas oublié dans les terres : sardines grillées, bourrides ou aïolis, l'on pourra en déguster sur les cours des villages de Provence lors de repas joyeux et animés.
Bien que la production de vin rouge s'améliore d'année en année, c'est pour sa production de rosé que la Provence est la plus renommée. Les 2/3 de sa production y sont consacrés.
Le vignoble provençal s'étend des environs de Nice, à l'est, jusqu'au delta du Rhône, et l'immense superficie de ce vignoble permet de rencontrer des terroirs, et donc des productions, très différenciées...

 

 

 

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Le lapin

 

 

Le lapin, mammifère rongeur,  fut longtemps considéré comme une calamité, en raison des dégâts qu’il causait et de sa prolificité.

Jusqu’au XVe  siècle, on l’appela “connil” ou “connin”.

Symbole de fécondité, le lapin fut souvent associé aux plats de Pâques.   



L'ail

 

 

Depuis l’Égypte antique, l’ail est apprécié pour ses vertus médicinales : il entrait déjà dans la composition de 22 des 800 potions décrites dans le ''Codex Ebers'', un papyrus rédigé 1550 ans avant notre ère.
Remède universel à l'époque de Ramses II. Les bâtisseurs de pyramides recevaient 1 gousse d'ail par jour pour ses propriétés toniques...

Autrefois, à Draguignan, ses gousses étaient rôties sur les feux de la Saint-Jean allumés dans toute la ville, avant d’être ensuite partagées entre tous les habitants.



Le romarin

 

 

Le romarin, cet arbrisseau des garrigues, spontané dans tout le bassin méditerranéen, doit son nom aux Romains qui le nommait “rosée marine”. Aromate et condiment, au même titre que le thym et le laurier-sauce dont il renforce les vertus, il forme, aux côtés du basilic, de la sarriette, de la sauge et du thym, le bouquet aux 5 senteurs des “herbes provençales” et pulvérisé, entre dans la composition du “poivre aux herbes”, pour assaisonner le gibier.