Boulettes de bœuf
provençales
Ingrédients pour 4 convives
500 g de viande hachée de bœuf
1 oignon
150 g de chair à saucisse
1 Œuf
1 boîte 4/4 de coulis de tomate
5 cl de vin blanc
Quelques olives vertes et noires
Basilic - facultatif
5 cl d'huile
Sel & Poivre
Indications de préparation
Mélanger
à la viande de bœuf, la chair à saucisse, l'oignon haché
finement, saler et poivrer.
Ajouter l'œuf.
Bien malaxer et former des boulettes de taille moyenne.
Dans une sauteuse, faire chauffer l'huile.
Mettre les boulettes dans la sauteuse en les retournant
de temps en temps afin de leur faire prendre une belle
coloration...
Les retirer, jeter l'huile de cuisson, déglacer avec du vin blanc, mouiller avec le coulis de tomate, ajouter les olives, reporter à ébullition 10 min environ.
Remettre les boulettes et prolonger la cuisson à couvert pendant 3 à 4 min.
Avant de servir, ajouter éventuellement un peu de basilic haché fraîchement.
Avec ce plat, servir des pâtes fraîches, du riz pilaf ou une purée de pommes de terre (carottes, céleri) en sachet.
la
Provence doit son nom à l'époque romaine qui la
connaissait comme Provincia (une des nombreuses
provinces romaines).
La Provence fit partie de la Gaule Transalpine, rebaptisée
Gaule Narbonnaise au 1er siècle av. J.-C. Ancien
comté, elle devient province royale française en 1481.
De fait, culturellement et touristiquement, la Provence
s'étend jusqu'à l'est du Gard, au-delà du Rhône jusqu'à
Nîmes, et jusqu'au sud de l'Ardèche et de la Drôme.
La cuisine provençale c'est du soleil dans l'assiette ! Un
festival de saveurs, de parfums et de couleurs qui aiguisent
appétit et bonne humeur. On retrouvera le charme des balades
dans les collines de Provence : les odeurs de thym, de
romarin, de basilic et même de lavande !
L'huile d'olive règne en maîtresse vénérée sur la cuisine
provençale, elle accompagne avec bonheur les légumes:
poivrons, tomates, aubergines... ou les viandes et poissons.
Dans les collines, le sanglier est une pièce de choix. Au
pays des chasseurs, la tradition du "cochon" porte au
premier plan cette viande dans les menus. Mais le poisson
qui se mange sur la côte n’est pas oublié dans les terres:
sardines grillées, bourrides ou aïolis, l'on pourra en
déguster sur les cours des villages de Provence lors de
repas joyeux et animés.
Bien que la production de vin rouge s'améliore d'année en
année, c'est pour sa production de rosé que la Provence est
la plus renommée. Les 2/3 de sa production y sont consacrés.
Le vignoble provençal s'étend des environs de Nice, à l'est,
jusqu'au delta du Rhône, et l'immense superficie de ce
vignoble permet de rencontrer des terroirs, et donc des
productions, très différenciées...
On a toujours intérêt à l'agrémenter, selon
son goût, d'aromates divers : truffe, épices, pistaches, poivre vert, etc…
On peut surtout la préparer soi-même en utilisant de l'échine de porc et du lard passés au hachoir. Tous les restes de volaille ou de viande : maigre de veau, bœuf bouilli, dinde ou poulet, voire gibier… permettent de lui donner une saveur plus personnelle et relevée.
Les oliviers cultivés sont noueux et tordus.
Leurs feuilles foncées et longues sont argentées au-dessous, Les
espèces sauvages, au port buissonnant, sont épineuses avec des
feuilles plus arrondies. Leurs fleurs blanches, discrètes, parfois
parfumées, donnent des drupes vertes virant au brun noirâtre, ou
parfois blanc ivoire, en mûrissant. Elle renferme chacune 1 seul
noyau.
Des oliviers poussent à l’état sauvage au Moyen-Orient, mais ces
arbres sont cultivés depuis des temps immémoriaux.
L’olive était l’un des fruits promis au peuple juif sur la terre de
Canaan.
D’après Homère, Cécrops, fondateur d’Athènes,
rapporta en Grèce des olives vertes qui devinrent source de
richesse. L’olive atteignit l’Italie en 571 av. J.-C. les Phocéens
l'importèrent à la même époque jusqu’en Provence.
De nos jours, les olives sont toujours produites dans ces régions
méditerranéennes, mais elles sont aussi cultivées en Californie,
Australie et en Chine...