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 Cassolettes de tomates
          gratinées à la viande
 

 

 

 

 

 

 

 

Family lunch - ja6

 

 

 

 

 

 

 

    Escorter en été, d’un Rosé de Provence!

  

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Ingrédients pour 4 convives

  • 400 g de tomates

  • 300 g de steak haché : paleron

  • 1 oignon

  • 150 g d’emmenthal

  • 1 échalote

  • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive

  • 1 branche d’origan ou origan sec

  • Piment moulu

  • Poivre de Cayenne

  • Sel & Poivre

Indications de préparation

  • Plonger les tomates 10 s dans de l’eau bouillante.
    Les peler et les épépiner.
    Tailler la chair en lanières épaisses.

  • Dans une poêle, dorer l’oignon et l’échalote épluchés et hachés avec de l’huile chaude.

  • Ajouter 10 feuilles d’origan ciselées, 1 pincée de piment moulu et la viande. 
    Faire rissoler l’ensemble 5 min en remuant.
    Saler et poivrer.

steak haché

  • Garnir le fond de 2 cassolettes avec la moitié des tomates.
    Déposer 1 couche de viande, couvrir du reste des tomates.
    Répartir de larges tranches d’emmenthal sur la surface.
    Parsemer de quelques feuilles d’origan.

  • CUISSON à four chaud, Th 6 - 180°c, pendant 15 min.

  • À l’aide d’une spatule, transférer le contenu des 2 caquelons dans des assiettes chaudes ou bien servir directement.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Antérieurement peuplé de Celtes appelés aussi Ligures ou Celto-Ligures, le littoral provençal fut colonisé par les Grecs ± 600 av. J.-C. Les Phocéens s'installèrent à Marseille (en grec, Massalia; en latin, Massilia), puis essaimèrent à Nice, Arles, Agde, puis au sud de Nîmes.
la Provence doit son nom à l'époque romaine qui la connaissait comme Provincia (une des nombreuses provinces romaines).
La Provence fit partie de la Gaule Transalpine, rebaptisée Gaule Narbonnaise au 1er siècle av. J.-C. Ancien comté, elle devient province royale française en 1481.
De fait, culturellement et touristiquement, la Provence s'étend jusqu'à l'est du Gard, au-delà du Rhône jusqu'à Nîmes, et jusqu'au sud de l'Ardèche et de la Drôme.
La cuisine provençale c'est du soleil dans l'assiette ! Un festival de saveurs, de parfums et de couleurs qui aiguisent appétit et bonne humeur. On retrouvera le charme des balades dans les collines de Provence : les odeurs de thym, de romarin, de basilic et même de lavande !
L'huile d'olive règne en maîtresse vénérée sur la cuisine provençale, elle accompagne avec bonheur les légumes:
poivrons, tomates, aubergines... ou les viandes et poissons.
Dans les collines, le sanglier est une pièce de choix. Au pays des chasseurs, la tradition du "cochon" porte au premier plan cette viande dans les menus. Mais le poisson qui se mange sur la côte n’est pas oublié dans les terres: sardines grillées, bourrides ou aïolis, l'on pourra en déguster sur les cours des villages de Provence lors de repas joyeux et animés.
Bien que la production de vin rouge s'améliore d'année en année, c'est pour sa production de rosé que la Provence est la plus renommée. Les 2/3 de sa production y sont consacrés.
Le vignoble provençal s'étend des environs de Nice, à l'est, jusqu'au delta du Rhône, et l'immense superficie de ce vignoble permet de rencontrer des terroirs, et donc des productions, très différenciées...

 

Coteaux d'Aix-en-Provence

L’histoire du vignoble aixois se confond avec l’histoire de la Provence, dont les origines remontent au VIe siècle avant notre ère. Vers l’an 600 avant J.C, des navigateurs phocéens venus d’Asie Mineure et emmenés par Protis, fondateur de Marseille, apportent avec eux des plants de vignes. Amicalement accueillis par les Ségobriges, ils leur offrent des cépages, tel l’Ugni blanc puis leur enseignent l’art de tailler la vigne et de presser le raisin.
Plus tard, les Romains, conquérants infatigables et épicuriens authentiques, étendent l’implantation de la vigne du littoral vers l’arrière-pays, au nord par la vallée du Rhône, et à l’ouest, en direction du Languedoc.
Au Moyen Âge, monastères et abbayes donnent un nouvel essor au vignoble provençal et favorisent le développement du négoce des vins, particulièrement florissant.
Les Comtes de Provence participeront à leur tour à sa prospérité. Leurs vignobles se déploieront pour former un triangle dont les sommets se confondent avec Saint-Rémy de Provence, l’étang de Berre et la Montagne Sainte-Victoire.
Au XVe siècle, le Roy René surnommé le Roy Vigneron, donnera ses lettres de noblesse au vignoble provençal en le faisant connaître de la plupart des cours d’Europe. D’une grande qualité, la vigne provençale ne cessera de progresser jusqu’au XIXe siècle, malgré une vive concurrence, notamment celle des autres vignobles méridionaux. C’est alors que le phylloxéra, arrivé du Languedoc en 1880, détruit une grande partie des vignes pour ne laisser au pays aixois qu’1/5 de son ancien vignoble.
La production reprendra au début du XXe siècle avec des rendements accrus malgré une réduction sensible des superficies. Pour préserver et renforcer l’identité de leurs vins, les viticulteurs commencent alors la longue marche vers l’A.O.C. Devenus Coteaux du Roy René en 1946, les vins de la région bénéficieront 10 ans + tard de l’appellation VDQS Coteaux d’Aix. Le 24 décembre 1985, l’Appellation d’Origine Contrôlée viendra couronner les efforts qualitatifs et la persévérance des vignerons.

 

Participant à la renommée de cette Provence au cœur de laquelle ils sont enracinés, les Coteaux d’Aix-en-Provence sont désormais appréciés par les amateurs du monde entier. La lumière, les couleurs, les senteurs, les saveurs sont le reflet de l'art de vivre en Provence, terre de prédilection du rosé...
Le rosé est un art inimitable que les vignerons provençaux cultivent avec passion.
Une robe tendre, claire et limpide, un nez délicat, sec et fruité font du rosé un instant de convivialité intense: rencontres improvisées, découverte, alliance avec les recettes provençales ou les cuisines du monde, le rosé est en phase avec l'émergence des nouveaux style de vie...

 

 

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 La tomate

 


Découverte au Mexique, poussant dans le maïs, de la même famille que la mandragore, la tomate provient des montagnes péruviennes où elle a longtemps été cultivée. Elle fut importée en Occident par les Espagnols il y a ± 550 ans.

Autrefois la tomate était dorée, rarement rouge. Les premiers fruits étaient profondément ridés et aplatis. La variété de ''Marmande'' est encore assez plate. La tomate considérée comme vénéneuse fut longtemps cultivée comme une simple fleur pour la beauté de ses fruits rouges. On l’appelait aussi, pomme du Pérou et pomme d’acacia.
Son nom vient de l’aztèque tomati. Baptisée pomme d’amour dans le Midi, et pomodoro, ''pomme d’or'' en Italie.
Les premières tomates furent observées dans le Nord de l'Italie actuelle en 1554 puis sa culture se développa ensuite dans le reste du pays... Gêne, Nice, enfin le Sud de la France et la Corse.
Elle apparut dans le Nord de la France, et à Paris, après 1790. Elle ne se répandit réellement au nord de la Loire qu’à la faveur de la Révolution française.