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 Tarte "Tatin" au boudin noir 

 

 

 

 

 

 

 

Magic Meal - ja6

Préparer 4 moules à tarte individuels pour ces tartelettes originales, savoureuses et économiques...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ingrédients pour 4 convives

  • 320 g de boudin noir

  • 1 paquet de pâte brisée - prête à étaler

  • 4 pommes

  • 10 g de beurre

  • 1 oignon

  • 6 Brins de ciboulette

  • Sel & poivre

Indications de préparation

  • Peler les pommes, les couper en morceaux.

  • Peler et émincer les oignons en rondelles.

  • Étaler la pâte et découper 4 ronds légèrement plus grands que les moules.
    Garder au froid.

Tatin - ja6

  • Préchauffer le four Th 7 - 210°c.

  • Fondre 10 g de beurre dans une poêle, faire revenir sur feu doux les pommes et l’oignon pendant 5 min.
    Saler et poivrer.
    Déposer les pommes dans les moules à tarte, les recouvrir des ronds de pâte.

  • Enfourner pendant 15 min.

  • Dans un plat à gratin, déposer le boudin et le faire cuire au four pendant 15 min.
    Découper le boudin en rondelles.
    Retourner les tartes "Tatin", les recouvrir de tranches de boudin, parsemer de ciboulette.
    Servir aussitôt avec une petite salade verte.


 

Accès au site Original - ex - cuisine-collection.com , devenu :  ja6.free.fr

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le boudin noir

Fort ancienne, la préparation du boudin, nous vient sans doute d'un cuisinier de la Grèce antique.
Autrefois les agapes de fin d'année comportaient toujours du boudin noir et le sacrifice du "Monsieur", en décembre, s'accompagnait d'une boudinée conviviale...
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La pomme

Nos pommes actuelles, Malus communis, sont issues de pommiers sauvages originaires d’Asie centrale. Les espèces sauvages de pommes étaient déjà récoltées pendant la préhistoire. On a retrouvé des restes de pommes coupées dans les cités lacustres des vallées alpines.

Les pommes étaient aussi bien connues des Phéniciens. Caton n’en comptait que 6 variétés au IIe siècle av. J.-C. Mais lorsque Varron rédigea son Rerum rusticarum, au Ier siècle av. J.-C., chaque région possédait ses pommiers. Un siècle après, Pline en connaissait déjà 32 variétés. Les Romains qui pratiquaient le greffage, importèrent la pomme en Gaule...

Le Moyen Âge apprécia beaucoup la pomme, on en trouvait partout, elle était, en
général, peu chère et on la considérait comme un fruit pouvant également servir de légume. Les Celtes appelaient le pommier avallo, un nom que l'on retrouve dans celui de la ville d'Avallon, île légendaire et sacrée dont le nom signifie simplement ''pommeraie''. D'ailleurs, dans la famille des langues indo-européennes, la pomme était nommée abol, qui a donné apple en anglais, apfel en allemand, et appel en néerlandais.
En latin, pommum désigne un fruit à pépin ou à noyau. Au Moyen Âge, dans certaines langues comme le français et le catalan, le mot pommum a changé de sens pour désigner uniquement la pomme.
Dans d’autres langues comme le roumain, il signifie encore aujourd’hui le fruit.