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 Tarator

            Party dips

 

 

 

 

 

 

Le tarator est une soupe froide ou une salade liquide... très appréciée l'été.
Principalement réalisée en Bulgarie, en Macédoine et en Albanie, elle est préparée à partir de yaourt, concombres, ail, noix, aneth, huile végétale et eau.
Elle pourra être servie avec des glaçons.

Quelques variantes locales remplacent le yaourt par de l'eau et du vinaigre, oublient les noix mais ajoutent du pain.
D'autres, plus rarement, remplacent les concombres par de la laitue ou des carottes, mais là, on s'égare.
La tarator est le plus souvent consommée comme une soupe avant le plat principal ou encore comme une salade en accompagnement du plat principal par ex.

 

Türkiye - Turquie - ja6

Ici, une belle version turque... d'Istambul.
Servi en soupe froide, l'on placera alors simplement l'ensemble des ingrédients dans le bol d'un robot mixeur...

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ingrédients pour 4 convives

  • 1/2 concombre

  • 400 g de fromage blanc de brebis - à défaut, de yaourt bulgare

  • 1 gousse d'ail

  • 3 cuillères à soupe d'huile d'olive

  • 1 grosse cuillère à soupe d'aneth - haché

  • 30 g de cerneaux de noix

  • Sel & poivre

Indications de préparation

  • Mixer l'ail avec les cerneaux de noix, l'aneth et l'huile d'olive pas plus de 30 s afin d'obtenir une pâte grossière.

  • Rincer le concombre puis le râper.
    Le laisser s'égoutter 5 min dans une passoire.

  • Mélanger le concombre égoutté avec le fromage blanc, la préparation aux noix, le sel et le poivre.

  • Laisser reposer au moins 3 h au frais avant de servir.

En cas de réalisation express, ajouter alors de la glace pilée pour le refroidir plus rapidement.



 

 

 

 

 

 

 

 

Pour les femmes turques, la cuisine est un Art et une affaire de famille.
Comme dans tous les pays méditerranéens, c'est une cuisine de mères dont les recettes sont souvent jalousement gardées. En tout point exquise, la cuisine turque bénéficie des raffinements de la cuisine ottomane et d'une multitude d'influences étrangères.
Elle tient aujourd'hui de ses origines : nomade avec l'utilisation du yaourt et de la viande grillée, agricole avec la présence du boulgour et de céréales, aristocratique comme en témoignent le façonnage délicat de farcis, feuilletés et desserts.
Riche, variée, très colorée, elle fait largement appel aux : légumes : aubergines et courgettes notamment, fruits, céréales : riz et blé, et à l'huile d'olive.
Les légumes sont cuisinés avec de la viande afin d'obtenir un repas complet ou simplement avec de l'huile d'olive. Le repas turc se compose généralement d'un plat chaud, accompagné souvent de riz, suivi d'un légume à l'huile d'olive.
Les plats sont censés mettre en valeur la saveur de l'ingrédient principal et non la masquer sous des sauces et des épices. Herbes et épices d'ailleurs sont utilisées avec parcimonie et grande originalité.
La cuisine turque est excellente pour la santé, proche des recommandations du régime crétois qui participe à la diminution des risques de cancers et de maladies cardiovasculaires… - 1991

 

GREAT PARTY DIPS
to dip : plonger, tremper...

À l’instar du café dans lequel on trempe une tartine, les dips, mouillettes et autres "trempettes", décuplent le plaisir de déguster des légumes crus coupés en bâtonnets (concombre, carotte, céleri... ou radis, tomates cerises sur pique...) avec une sauce rafraîchissante et légère, préparée en un tour de main !
L'on pourra compléter ou substituer les bâtonnets de légumes par de petites fritures, de petits beignets, des mini brochettes ou bien des tacos, nachos, tortilla chips et autres croustillants biscuits salés.
Ou encore du pain libanais légèrement réchauffé que chacun déchirera au fur et à mesure !

Pour les sauces, à tout faire, on en trouve dans toutes les cuisines du monde. Les plus célèbres sont le guacamole mexicain pour tremper tacos et nachos, le nuoc-châm vietnamien pour les rouleaux de printemps, la sauce chinoise aigre-douce pour les raviolis frits, la japonaise pour les tempura, sans oublier notre anchoïade destinée aux crudités et notre mayonnaise, que les Belges nous empruntent pour tremper leurs frites.

· Les dips doivent être ludiques et mettre en valeur les couleurs, les saveurs et les textures des mets que l’on a préparés.
Conditionnés comme des condiments et conservés dans des bocaux au réfrigérateur, ils seront meilleurs après 14 h de repos.
· Pour les sauces, l'on choisira un ingrédient de base (tomate, concombre, banane, avocat, olive, pomme), un liant (moutarde fine), une huile à la saveur corsée (olive, noix, noisette, sésame, pistache, argan), coupée d’une seconde ne figeant pas au froid (pépins de raisin ou huile diététique Primevère).

La première pourra être remplacée par de la pâte de sésame, dont le pouvoir liant est tel que la moutarde devient inutile, par des confits non sucrés de noix, des amandes ou des noisettes, du yaourt ou du fromage frais de chèvre ou de brebis.
La note acide sera apportée par un vinaigre blanc doux (cidre, riz, champagne) ou par du jus de citron, et adoucie par un ajout de miel d’acacia.
Fines herbes et aromates doivent être frais, comme dans cette anchoïade balsamique composée de 2 huiles – olive et pépins de raisin – ainsi que de pâte d’anchois, d’olives noires dénoyautées, de câpres, de jus de citron, d’ail, de thym, de vinaigre balsamique, de poivre et de Tabasco.

Keep party-goers happy with these easy, crowd-pleasing dips using ingredients found in most storage pantries.
Hosting a big event soon?
A Relief Society meeting about Emergency Preparedness, maybe?
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What about a birthday bash for your husband?
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They're delicious - and they're made from 100 percent food storage ingredients!
We developed them in the Emergency Essentials Test Kitchen last week, and they got great reviews (especially the Taco Dip)...

 

Accès au site Original - ex - cuisine-collection.com , devenu :  ja6.free.fr

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le concombre

Originaire de l’Himalaya au pied duquel il poussait à l’état sauvage. Le concombre est cultivé en Inde et en Chine depuis 3000 ans.
Il fut introduit en Égypte, puis les hébreux le plantèrent en Galilée, où ils le cultivèrent avec soin. Pline rapporte que les Romains et les Grecs l’appréciaient à tel point, qu’ils avaient réussi à le cultiver en hiver...
En France on mangeait du concombre sous Charlemagne, mais c’est Quintinie qui organisa sa culture sous abri pour pouvoir le servir à la table de Louis XIV dès le mois d’avril.
Aujourd’hui, sa consommation progresse fortement en France, particulièrement depuis 15 ans.



La noix

Jugians regia, le noyer commun, est originaire de Perse et fut introduit en Europe par les Romains vers le IVe siècle av. J.-C. Il devint alors une ressource importante de nourriture et de bois dans bien des régions. Le noyer est un grand arbre à croissance lente, qui peut atteindre 45 m de haut. Ses feuilles sont pennée et son écorce est grise. Chaque noyer porte des fleurs femelles discrètes et des chatons mâles. Les coques ligneuses des fruits sont entourées d’un péricarpe
charnu vert, appelé brou, et contiennent 2 cerneaux qui ont l’aspect d’hémisphères cérébraux...
Le noyer noir, Jugians nigra, originaire du nord-est de l’Amérique fut introduit en Europe avant 1656. Surtout cultivé pour son bois et ses qualités ornementales, il est plus grand que notre noyer commun. Ses grosses noix, dures à casser, sont riches en phosphore.