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 Filet de porc mariné
         au thé fumé

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce rôti pourra aussi être consommé froid, accompagné d'une salade verte.
Si l’on n'aime pas le thé fumé, l’on pourra réaliser cette recette avec un  thé de Chine, comme le keemun, un oolong, voire un thé d'Assam.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ingrédients pour 6 convives

  • 1 Rôti de porc de 1,5 kg dans le filet - désossé

  • 10 g de thé de Chine fumé

  • 3 gousses d'ail

  • 20 g de gingembre frais

  • 1 cuillère à café de quatre-épices

  • 1 cuillère à soupe d'huile d'arachide

  • 1 cuillère à soupe de gros sel

  • 1 cuillère à soupe de sucre
    Garniture

  • 4 pommes : golden ou reine des reinettes

  • 1 cuillère à café de yunnan ou de Ceylan noir

  • 50 g de beurre

  • Sel & poivre

Indications de préparation

  • Mélanger le gros sel et le sucre, saupoudrer le rôti de ce mélange, le poser sur un plat et laisser reposer pendant 3 h au réfrigérateur, puis rincer et éponger la viande.

  • Préchauffer le four à 210°c - Th. 6.

  • Laisser infuser le thé pendant 5 min dans 15 cl d'eau frémissante.

  • Pendant ce temps, peler les 3 gousses d'ail et les passer au presse-ail au-dessus d'un bol.

  • Peler le gingembre, puis le râper au-dessus du bol.
    Ajouter les épices, l'huile et le thé filtré.

  • Mélanger bien et badigeonner de cette préparation toute la surface du rôti.

  • Poser la viande dans une cocotte, mettre au four et laisser cuire pendant 1 h 45, en la retournant 3 ou 4 fois pendant la cuisson.

  • Avant la fin de la cuisson, couper les pommes en deux, éliminer les pépins et détailler les fruits en lamelles de 1 cm.

  • Dans une grande poêle, faire fondre le beurre, puis placer les pommes, saupoudrer de thé en l'émiettant entre les doigts et poivrer.

  • Retourner délicatement les lamelles de pomme au bout de quelques minutes afin qu'elles dorent de chaque côté.

  • Lorsque le rôti est cuit, le découper et le servir accompagné de pommes bien dorées.




 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le gingembre

 

 

L’âne ne peut sentir le gingembre” affirme un proverbe marocain.
La finesse de son arôme et le piquant de son goût rehaussent aussi bien la cuisine salée que la pâtisserie. Il parfume vin, bière, thé et ginger ale.

Cru ou cuit, il relève les mets fades : riz, pâtes, épinards, et même les confitures. Il réveille un bouillon de volaille ou un gratin de légumes. Râpé ou haché, il entre dans de nombreux chutneys, pickles et curries, rehausse une salade de fruits.
Mouliné, il est indispensable au “4 épices” et remplace avec bonheur le sel pour assaisonner grillades, poissons et salades vertes...



4 épices

La poudre des 4 épices est composée de : cannelle, clous de girofle, noix de muscade, poivre noir et gingembre.
Ce mélange remplace le piment officinal dit “quatre-épices” qui ne se trouve plus en Europe actuellement.
Il réunissait la saveur des 4 épices, sauf le gingembre ajouté ultérieurement au mélange afin d'en corser le goût!
On trouve également des mélanges dans lesquels on a ajouté du piment de la Jamaïque et de la cannelle, de la cardamome, voire du gingembre, réglisse ou badiane.

Les mélanges de 5 épices en comportant 8 ne sont pas rares en supermarché… Bref, c’est un peu le bazar mercantile !
On retrouve le mélange 4 épices dans les charcuteries, notamment les terrines, les farces et les pâtés. C'est l'allié parfait pour la préparation des foies gras maison. Il se marie idéalement avec le miel afin de déglacer les volailles.
 

 


L'ail

 

 

Depuis l’Égypte antique, l’ail est apprécié pour ses vertus médicinales : il entrait déjà dans la composition de 22 des 800 potions décrites dans le Codex Ebers, un papyrus rédigé 1550 ans avant notre ère.
Remède universel à l'époque de Ramses II. Les bâtisseurs de pyramides recevaient 1 gousse d'ail par jour pour ses propriétés toniques...

Autrefois, à Draguignan, ses gousses étaient rôties sur les feux de la Saint-Jean allumés dans toute la ville, avant d’être ensuite partagées entre tous les habitants.