Burgers de poisson
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Ingrédients pour 4 convives
500 g de filets de cabillaud ou haddock - sans peau
4 oignons - finement hachés
1 blanc d’œuf
50 g de chapelure blanche
2 Cuillères à soupe d'huile de tournesol
Poivre
Accompagnement
3 cuillères à soupe de yaourt à la grecque
3 cuillères à soupe de mayonnaise
4 petits pains ronds spécial hamburger : buns aux céréales
Feuilles de salade
Indications de préparation
Vérifier qu'il n'y a plus d'arêtes dans les filets puis les couper en morceaux.
Les mettre dans un robot ou un mixeur avec les oignons et mélanger rapidement afin que les ingrédients soient bien hachés.
Ajouter le blanc d'œuf, la chapelure, un peu de sel et de poivre, et mélanger tous les ingrédients.
S’humidifier les mains afin que le mélange ne
colle pas, et le diviser en 4 puis former des burgers aplatis.
Laisser ces burgers de poisson au frais pendant ± 1 h au moins
avant de les cuire.
Badigeonner les burgers d'huile puis les faire cuire sur la grille huilée du barbecue à braises tièdes pendant 3 min de chaque côté pour qu'ils deviennent dorés et qu'ils durcissent - en hiver les dorer au gril du four, voire au grille-pain.
Pendant ce temps, mélanger yaourt et mayonnaise, avec un peu de sel & de poivre.
Couper les petits pains en 2 et mettre des feuilles de salade sur chaque moitié.
Placer les burgers dessus et ajouter 1 cuillère à soupe de mayonnaise au yaourt.
Refermer les petits pains et déguster chaud.
Aujourd'hui, en anglais, du moins en
anglo-américain, le mot hamburger désigne indifféremment
sandwich et steak haché.
Il est courant en Allemagne, comme
ailleurs, d'attribuer aux spécialités culinaires le nom de
leur ville d'origine.
Ils ouvrirent un drive-in à
San Bernardino (Californie) en 1940, où les clients
pouvaient entrer manger s’ils le voulaient ou bien repartir
en voiture avec leur nourriture. |
Le cabillaud, qui est de la morue fraîche, reste le plus populaire et le plus courant des poissons de l’Atlantique Nord.
Le cabillaud, du néerlandais "Kabeljau" est un poisson de la famille
des gadidés, à l'instar du colin et du merlan.
Aujourd’hui, on le pêche principalement dans les océans Atlantique
et Pacifique, et en mer du Nord, dans une eau froide dont la
température n’excède jamais 10° Celsius. Il investit les eaux
côtières de janvier à mars, et trouve refuge en eaux profondes le
reste de l’année.
Le cabillaud mesure en moyenne entre 50 cm et 1 m. Le coloris de ses
écailles peut varier du gris au brun, ceci en fonction de son
alimentation : omnivore, il se nourrit de crabes, de couteaux, de
calmars, de petits poissons, ou encore de vers.
La pêche du cabillaud est apparue en France avec les Vikings : ces
derniers ont popularisé la pratique dès le IXe siècle, après avoir
envahi la Normandie.
Le Moyen Âge, les autorités religieuses chrétiennes imposant 150
jours "maigres" par an, voit la consommation de poisson croître.
En 1278, Le terme “cabillaud” apparait dans la langue
française. La
pêche du cabillaud s’intensifie logiquement, et dès le XVIIe siècle,
les navigateurs s’aventurent jusqu’aux bancs islandais.
L’activité est demeurée une des principales sources de revenus pour
certaines communautés (comme Fécamp et ses Terre-Neuvas), et ce
jusqu’au XIXe siècle. Avec l’avènement de la révolution
industrielle, les chalutiers à vapeur remplacèrent peu à peu
trois-mâts, goélettes, ouvrant la voie à la pêche industrielle, au
rendement plus avantageux.
On trouvait jadis le cabillaud en abondance, mais aujourd’hui la
tendance s’est inversée, des mesures de restriction sur sa pêche ont
été prises, afin d’éviter l’extinction de l’espèce. La Commission
européenne a ainsi récemment présenté un plan de "reconstitution des
stocks de cabillaud" , imposant notamment une taille légale de
capture...
Le véritable haddock, si prisé de nos amis anglais, est de l'églefin
coupé en 2 dans le sens de la longueur, saumuré, puis fumé.
Hélas,
on vend trop souvent d'autres filets de poisson fumés (cabillaud) et
colorés artificiellement, sous ce nom.
Ils n'ont pas la finesse de goût du haddock.
Choisir le haddock
épais, souple, de couleur jaune pâle ou orangée, sans excès.
Rungis ± 11 € / kg
- 2012
Au détail, 20 à 40 € ! le kg - 2012