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 Gratin de tomates aux œufs 

Petits chefs

 

 

 

 

 

 

Pas facile, parfois de contenter nos chérubins portés toujours sur les mêmes plats, boudant les légumes et toute nouveauté culinaire.
Pour les Mamans en quête de repas équilibrés qui fassent dire aux enfants Encore !, il s'agit de trouver des recettes faciles et rapides, parfois ludiques, toujours appétissantes.
Leur dénominateur commun?
La simplicité des saveurs et le nombre d'ingrédients limité, le tout assorti d'astuces de présentation et d'idées de variantes.

Un gratin d'Île-de-France, simple à réaliser, riche en couleur et de saveurs subtiles ...
Accompagner de pâtes fraîches ou de riz.

 

Ensemble, essayons d’ouvrir les yeux de nos bambins aux plaisirs de la cuisine, aux nouvelles saveurs et à la richesse de notre alimentation.
Cuisiner est un jeu mais aussi une culture que l’on transmet progressivement.
C’est le moment de leur mettre un petit tablier et de passer un moment agréable et complice en famille, à la découverte des joies de la cuisine et de nouveaux goûts.
L'on pensera, cela va sans dire, au couteau aiguisé ou électrique, à la friteuse, au plat brûlant sortant du four... 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



Ingrédients pour 8 convives

  • 8 Grosses tomates

  • 8 Œufs

  • 50 Cl de crème fraîche

  • 300 G de gruyère - râpé

  • 150 G de beurre

  • 2 Gousses d’ail

  • 2 Morceaux de sucre

  • 1 Petit bouquet de persil

  • Sel & poivre

Indications de préparation

  • Laver et essuyer les tomates.
    Couper le sommet pour former un chapeau.
    Évider délicatement, sans les crever.

  • Réserver la pulpe dans une casserole à fond épais.

  • Déposer les tomates dans un plat à gratin.

  • Verser un peu de crème fraîche au fond de chaque tomate.
    Couvrir d’un peu de gruyère râpé.
    Casser 1 œuf dessus. Saler, poivrer.

  • Verser de nouveau un peu de crème fraîche et recouvrir de gruyère râpé.

  • Couvrir avec les chapeaux. Déposer 1 noix de beurre. 

  • CUISSON  à four chaud Th 5 - 180°c, pendant ± 25 min.

  • Peler et écraser l’ail.
    Hacher le persil.
    Mettre le tout dans la casserole contenant la pulpe de tomate. 

  • Ajouter le reste de beurre, le sucre. Saler, poivrer.
    Cuire 20 min sur feu moyen en remuant de temps en temps.

  • Mettre le contenu de la casserole dans un bol de mixer.
    Réduire en sauce homogène.

  • Verser dans une saucière et présenter avec les tomates.







 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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 La tomate

 

 

Découverte au Mexique, poussant dans le maïs, de la même famille que la mandragore, la tomate provient des montagnes péruviennes où elle a longtemps été cultivée. Importée en Occident par les Espagnols il y a 400 ans.
Autrefois la tomate était dorée, rarement rouge. Les premiers fruits étaient profondément ridés et aplatis. La variété de ''Marmande'' est encore assez plate. La tomate était considérée comme vénéneuse et fut longtemps cultivée comme une simple fleur pour la beauté de ses fruits rouges. On l’appelait aussi, pomme du Pérou et pomme d’acacia. Son nom vient de l’aztèque ''tomati''. Baptisée pomme d’amour dans le Midi, et pomodoro : ''pomme d’or'' en Italie. Les premières tomates furent observées dans le Nord en Italie en 1554 puis se développa ensuite dans le reste de l’Italie... Gêne, Nice, puis le Sud de la France et la Corse.
Elle apparut dans le Nord de la France et à Paris après 1790. Elle ne se répandit réellement au nord de la Loire qu’à la faveur de la Révolution française.

 


Le gruyère

 



 

Il doit son nom à la Gruyère, région du canton de Fribourg, où on le fabrique depuis le XIIIe siècle.
Le gruyère porte le nom des comtes de Gruyère (leur blason était orné d'une grue) dont l'implantation da ns le canton remonte au IXe siècle.
L’origine en est aussi revendiquée par les Français : le gruyère viendrait de ''gruyer'', nom de l'officier chargé de surveiller les forêts et qui, au Moyen Âge, collectait des impôts en nature, sous forme de bois ou de fromages.

Les suisses préfèrent, afin d'éviter toutes confusions avec les pâtes françaises, l'appeler ''fribourg'' ! Ils n'ont pas tord...
Qu’il soit français ou suisse, c’est toujours une pâte pressée cuite, marquée de yeux rares et de fines rayures, le gruyère est immergé en saumure et affiné 6 mois en cave...