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  "Tarte"
         pain de mie et myrtilles
 

 

 

 

 

D’inspiration nordique, l’on peut aussi préparer cette recette avec d’autres baies (cassis, groseilles...) ou avec un panachage de baies.

 

 

 

 

 

 



Ingrédients pour 8/10 convives

  • 4 ou 5 Tranches de pain de mie

  • 4 œufs moyens

  • 1/3 De tasse de sucre : 8,33 cl

  • 50 Cl de lait

  • 1 Cuillère à café de levure chimique

  • 1 Cuillère à café d’essence de vanille

  • 6 Cl de liqueur de cassis

  • 500 G de myrtilles

Indications de préparation

  • Griller légèrement les tranches de pain et les déposer dans un moule à quiche de 23 cm de Ø, légèrement huile. Réserver.

  • Dans un bol, mélanger les œufs, le sucre, le lait, la levure et l’essence de vanille.

  • Incorporer la liqueur de cassis et les myrtilles.

  • Verser la préparation sur le pain et enfourner.

  • CUISSON à four chaud, Th 6 - 180°c, laisser cuire de 40 à 45 min.



 

 

 


1 livre = 500 g

1 cuillère à café = ±  3 à 5 g d’ingrédient sec = ± 0,5 cl d’ingrédient liquide

1 cuillère à soupe = ± 15 à 20 g d’ingrédient sec =  ± 1,5 cl d’ingrédient liquide

½ tasse =
± 12,5 cl

1 tasse =
± 25 cl

2 tasses=
± 50 cl


La tasse comme unité de mesure est toujours moins connue en Europe qu’aux États-Unis.

Il est important de savoir que la tasse n’est pas une mesure de poids, mais de volume d'ingrédients secs.
On remplit simplement, comme indiqué dans les recettes, une tasse ou un bol d’un volume de 25 cl de l’ingrédient sec mentionné.
(Ex : ½ tasse de persil haché, n’est pas l'équivalent de 12,5 g de persil haché).

 

 

 

 

 

 

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La myrtille

 

 

L'airelle, myrtille, ou ''brimbelle noire'' s'appelle aussi Abrêtier, bluet, embrume, lucet ou ''raisin des bois'' selon les terroirs...
La myrtille pousse spontanément en Europe, surtout en montagne, dans les sous-bois siliceux et les landes.

Il fallut attendre les années 1780 pour qu'enfin on se risque à affronter les sommets des montagnes en occident sans trop de superstition. La myrtille s'était montrée plus audacieuse. Elle peuplait les hauteurs et aussi les massifs plus modestes, tel le Massif central. On la connaissait en Auvergne, on la méprisait aussi un peu. Un dicton du cru, au XIXe siècle, affirmait : ''Je ne serai jamais assez pauvre pour aller ramasser les myrtilles''. Formule conjuratoire, car pauvreté et Auvergne sont de vieux synonymes. Par un de ces goûteux paradoxes dont le XXe siècle est coutumier, le ramassage des myrtilles sauvages est devenu de nos jours un revenu d'appoint non négligeable. En bref, retenir surtout que la myrtille fut longtemps un des privilèges du déshérité. Au début des années 1960, encore, le sketch du cantonnier, de Fernand Raynaud, s'en faisait l'écho...

 Très parfumées, de saveur acidulée, ses petites baies d’un noir bleuâtre sont recherchées pour la confection de tartes, de sorbets, de confitures et de sirops. .