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 Pouding fermier
      aux fruits du Rimouski

 

 

 

 

 

Spécialité du Québec – Province du Rimouski.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 









Ingrédients pour 4 convives

  • 50 Cl de crème fraîche – 35% 

  • 2 Gros œufs ou 3 petits

  • 220 G de sucre

  • 170 G de farine

  • 1/4 Cuillère à café de levure de boulanger

  • 1 Pincée de sel

  • 1 Tasse de fraises équeutées

  • 1 Tasse de framboises

  • 1 Tasse de myrtilles (bleuets)

  • 1 Tasse de rhubarbe - en dés

Indications de préparation

  • Dans un saladier, battre la crème, les 2 œufs, le sucre, la farine, la levure de boulanger et le sel jusqu’à une l’obtention d’une pâte lisse et homogène.

  • Dans un autre saladier mélanger les fraises, les framboises, les myrtilles et les dés de rhubarbe.

  • Beurrer un moule de 25 cm de Ø. Placer les fruits puis la pâte.

  • CUISSON à four chaud, 180°c - Th 6, pendant ± 30 min.



 

 

 

 

 

 

 


1 livre = 500 g

1 cuillère à café = ±  3 à 5 g d’ingrédient sec = ± 0,5 cl d’ingrédient liquide

1 cuillère à soupe = ± 15 à 20 g d’ingrédient sec =  ± 1,5 cl d’ingrédient liquide

½ tasse =
± 12,5 cl

1 tasse =
± 25 cl

2 tasses=
± 50 cl


La tasse comme unité de mesure est toujours moins connue en Europe qu’aux États-Unis...
Il est important de savoir que la tasse n’est pas une mesure de poids, mais de volume d'ingrédients secs.
On remplit simplement, comme indiqué dans les recettes, 1 tasse ou 1 bol d’un volume de 25 cl de l’ingrédient sec mentionné.
Ex : ½ tasse de persil haché, n’est pas l'équivalent de 12,5 g de persil haché.

 

 

 

 

Le mot pudding désigne souvent un dessert, mais peut également être un plat salé. Ce même mot vient probablement du mot français "boudin", lui même provenant du mot latin "botellus", signifiant "petite saucisse" - en référence aux viandes emballées utilisées dans les puddings européens médiévaux.
Dans la cuisine britannique, le terme pudding est également un terme générique pour désigner n'importe quel dessert, notamment flans, riz au lait et crèmes

Considéré comme plat national Au Royaume-Uni, le pudding est composé le + souvent de : pain ou farines, rognons ou graisse de bœuf, eau, lait, œufs, sucre, fruits, légumes ou viande... Il est ensuite enveloppé dans un linge, bouilli dans un récipient contenant un bouillon ou cuit à la vapeur dans un moule, au four.
On dénombre une grande variété de puddings : le "black pudding" qui correspond au boudin, le "haggis" écossais, le pudding aux céréales, le pudding à base de steak et de rognons, le pudding avec un citron au centre, le "Yorkshire Pudding" ...
En Angleterre, les 25 et 26 décembre à l’heure du thé, chacun déguste le Christmas pudding, préparé souvent 2 mois à l’avance. De nombreuses recettes sont inspirées de celle de la famille royale, riche en fruits secs et en épices, parfois avec des noix et de la pomme, voire de la carotte râpée.
Le premier dimanche de décembre est le jour du "Stir-up", celui où l'on commence les meilleurs puddings. Chaque membre de la famille tourne la pâte riche et collante en faisant un vœu. Une fois le pudding cuit, on le laisse refroidir, puis on le range dans un endroit sec, en attendant la dernière cuisson à la vapeur le jour de Noël. Pour finir, on le retourne sur un joli plat décoré d'un brin de houx et on le fait flamber avec une bonne rasade de cognac chauffé, l'enveloppant ainsi de flammes bleues.

 

 

Accès au site Original - ex - cuisine-collection.com , devenu :  ja6.free.fr

 




 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La myrtille

 

 

L'airelle, myrtille, ou ''brimbelle noire'' s'appelle aussi Abrêtier, bluet, embrume, lucet ou ''raisin des bois'' selon les terroirs...
La myrtille pousse spontanément en Europe, surtout en montagne, dans les sous-bois siliceux et les landes.

Il fallut attendre les années 1780 pour qu'enfin on se risque à affronter les sommets des montagnes en occident sans trop de superstition. La myrtille s'était montrée plus audacieuse. Elle peuplait les hauteurs et aussi les massifs plus modestes, tel le Massif central. On la connaissait en Auvergne, on la méprisait aussi un peu. Un dicton du cru, au XIXe siècle, affirmait : ''Je ne serai jamais assez pauvre pour aller ramasser les myrtilles''. Formule conjuratoire, car pauvreté et Auvergne sont de vieux synonymes. Par un de ces goûteux paradoxes dont le XXe siècle est coutumier, le ramassage des myrtilles sauvages est devenu de nos jours un revenu d'appoint non négligeable. En bref, retenir surtout que la myrtille fut longtemps un des privilèges du déshérité. Au début des années 1960, encore, le sketch du cantonnier, de Fernand Raynaud, s'en faisait l'écho...

Très parfumées, de saveur acidulée, ses petites baies d’un noir bleuâtre sont recherchées pour la confection de tartes, de sorbets, de confitures et de sirops.