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 Gibson - 1930s

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Gibson est un Dry Martini avec une Histoire et une décoration différente: 2 oignons à cocktail, légèrement écrasés placés au fond du verre.

 

The Gibson is a mixed drink made with gin and vermouth, and often garnished with a pickled onion. The oldest published recipe for the Gibson is found in the 1908 book, The World's Drinks and How to Mix Them by William Boothby. Boothby states, "Note – No bitters should ever be used in making this drink, but an olive is sometimes added."
Since the earliest known definition of the word cocktail as a type of drink in The Balance and Columbian Repository from 1806 mentions that the type of drink is also called a "bittered sling" one could say that, by those traditional standards, the Gibson is a sling rather than a true cocktail.
Other pre-prohibition recipes for the Gibson exist. They all omit bitters and none of them garnishes with an onion. Some garnish with citrus twists. Others use no garniture at all. No known recipe for the Gibson garnishes with an onion before 1922.
Some sources persist in using other garnishment than the onion into the 1930s and beyond, but still none use bitters. According to pre-prohibition sources, the 'classic' Martini of today without any bitters is actually the Gibson. However, modern terminology favors reserving the Gibson name for the same drink only when garnished with an onion.
The drink is traditionally made with gin but the Vodka Gibson is also common...

 

Gin and it
Utiliser 6/10 de gin et 4/10 de vermouth rouge. Remplacer les olives par 1 cerise confite.

Hanky-panky
Utiliser 5/10 de gin et 5/10 de vermouth rouge. Supprimer les olives. Ajouter 2 traits de Fernet Branca.

Dry Martini - 1862


This is the recipe from Patrick Duffy's 1930's classic "The Official Mixer's Manual".














 

 

 

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Ingrédients pour 1 cocktail

  • 7,5 cl de gin

  • 1,5 cl de vermouth blanc dry : Martini
    Garniture

  • 1 ou 2 petits oignons au vinaigre - éventuellement embrochés sur 1 pique à cocktail

Utiliser des ingrédients très froids, si l’on préfère éviter de mettre de la glace dans les verres…

Indications de préparation

  • Placer dans le verre à mélange des cubes de glace concassés.

  • Verser les ingrédients dans l’ordre. Gin puis Martini.

  • Brasser avec la cuillère à mélange puis passer dans un verre à cocktail.

  • Ajouter 1 ou 2 oignons dans le verre.

  • Déguster rapidement, la glace ne doit pas fondre…

 

 


 

 

The O.M.S recommends that women abstain during pregnancy and that if they choose to drink, they should drink no more than 1 or 2 units of alcohol once or twice a week and should not get drunk.

 



 

 

 

 

 

 

 

Minipizzas à la coppa et à la roquette
Découper 8 disques dans 1 rouleau de pâte à pain.
Badigeonner chacun de coulis de tomates, ajouter 1 morceau de coppa et 1 morceau de mozzarella.
Faire cuire au four préchauffé à 180°c pendant 10 min. Parsemer de roquette et servir avec le cocktail.
Faire griller des tranches de pain de seigle et tartiner chacune de roquefort.
Ajouter 1 raisin blanc sur chaque toast. Servir avec le cocktail.

 

Lorsque l’on prépare les cocktails directement dans le verre, verser toujours les alcools les moins forts en premier, sauf indication contraire.
Utiliser de la glace préparée en gros cubes, que ce soit pour agiter ou pour servir.

Les cocktails doivent être servis glacés. Placer les verres vides dans le réfrigérateur ou dans le freezer 1 h avant de servir.
Ne pas oublier que les cocktails, s’ils doivent être bons, doivent aussi être agréables à l’œil. Décorer avec des cerises à cocktail qui sont le plus souvent au marasquin, des olives farcies, des tranches de fruits frais, des brins de menthe, et des oignons à cocktail : petits oignons au vinaigre blanc.
Utiliser des oranges et des citrons non traités.

Afin d’améliorer encore la présentation de vos cocktails, givrer les verres : passer le bord des verres dans du jus de citron, puis les retourner sur une soucoupe contenant du sucre ou du sel fin pour les cocktails à base de tequila.
1 trait correspond généralement à  3 à 5 gouttes de liquide

 

 

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Le gin

 



On attribue souvent au médecin Franciscus Sylvius un breuvage apparu aux Pays-Bas au XIVe siècle sous le nom de Genever : le genièvre, réalisé à base de grains et de baies de genévrier qui lui procurent son arôme particulier.
La production de genièvre trouve aussi ses origines en Italie au XVème siècle, où le genièvre était utilisé comme plante médicinale.
Cette utilisation s’est développée en Hollande au début du XVIIème siècle, où la version alcoolisée du genièvre était vendue dans les pharmacies.
Les historiens de l'alimentation et de la boisson considèrent que la distillation du genièvre par les Hollandais constitue la genèse de l'ère des alcools forts, les "eaux de vie" en Europe.
Les hollandais à l'époque revendaient de l'alcool pur ou du mauvais vin portugais coupé à l'alcool pur de genièvre  aux Anglais.
Les soldats anglais basés en Hollande découvrent le genièvre lors de la Guerre de 30 ans (1618 - 1648).
Cette boisson alcoolisée locale à base de genévrier leur étant servie avant la bataille d’où l’expression anglaise “Dutch courage”.
À leur retour de la guerre, ils ramènent le genièvre avec eux.
En 1688, le monarque hollandais Guillaume d’Orange accède au trône anglais: le genièvre devient la boisson en vogue à la cour.
Les premières distilleries anglaises apparaissent à Londres à la fin du XVIIe siècle et produisent un alcool proche du Genever qui est baptisé "Gin" et s'internationalise rapidement.
En 1730, dans certains quartiers de Londres, et en particulier à St Giles autour d’Oxford Circus, 1 foyer sur 3 produit et vend du gin, une version populaire du genièvre perçue comme l’alcool du pauvre.
L’annuaire du Commerce de la City de Londres, de Westminster et de Lambeth répertorie 40 distilleries de gin et de malt, en 1794, 90% de la production de gin émanant de Londres.
Grâce à l’invention d’un nouvel alambic à débit continu en 1832, les distillateurs sont en mesure de créer un alcool beaucoup plus pur, qui leur permet de limiter l’ajout en sucre.
Un nouveau type de gin plus aromatique apparaît alors sous le nom de "sec londonien", par opposition au gin sucré.
La saveur du gin ordinaire est devenu aujourd'hui celle d'un alcool très sec, ce qui fait qu'on le boit rarement pur et qu'on le retrouve surtout dans la composition de nombreux cocktails quand il n'est pas déjà commercialisé dans une version aromatisée .