Gibson
- 1930s
Le Gibson est un Dry Martini avec une Histoire et une décoration différente: 2 oignons à cocktail, légèrement écrasés placés au fond du verre.
The Gibson is a mixed drink made with gin and vermouth,
and often garnished with a pickled onion. The oldest
published recipe for the Gibson is found in the 1908 book,
The World's Drinks and How to Mix Them by William Boothby.
Boothby states, "Note – No bitters should ever be used in
making this drink, but an olive is sometimes added." Since the earliest known definition of the word cocktail as a type of drink in The Balance and Columbian Repository from 1806 mentions that the type of drink is also called a "bittered sling" one could say that, by those traditional standards, the Gibson is a sling rather than a true cocktail. ![]() Some sources persist in using other garnishment than the onion into the 1930s and beyond, but still none use bitters. According to pre-prohibition sources, the 'classic' Martini of today without any bitters is actually the Gibson. However, modern terminology favors reserving the Gibson name for the same drink only when garnished with an onion. The drink is traditionally made with gin but the Vodka Gibson is also common... |
Gin and it Hanky-panky |
This is the recipe from Patrick Duffy's 1930's classic "The Official Mixer's Manual".
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Ingrédients pour 1 cocktail
7,5 cl de gin
1,5 cl de vermouth blanc dry : Martini
Garniture
1 ou 2 petits oignons au vinaigre - éventuellement embrochés sur 1 pique à cocktail
Utiliser des ingrédients très froids, si l’on préfère éviter de mettre de la glace dans les verres…
Indications de préparation
Placer dans le verre à mélange des cubes de glace concassés.
Verser les ingrédients dans l’ordre. Gin puis Martini.
Brasser avec la cuillère à mélange puis passer dans un verre à cocktail.
Ajouter 1 ou 2 oignons dans le verre.
Déguster rapidement, la glace ne doit pas fondre…
The O.M.S recommends that women abstain during pregnancy and that if they choose to drink, they should drink no more than 1 or 2 units of alcohol once or twice a week and should not get drunk.
Minipizzas à la coppa et à la roquette |
Lorsque
l’on prépare les cocktails directement dans le verre, verser
toujours les alcools les moins forts
en premier, sauf indication contraire. |
On attribue souvent au médecin Franciscus Sylvius
un breuvage apparu aux Pays-Bas au XIVe siècle sous le
nom de Genever : le genièvre, réalisé à base de grains et de baies
de genévrier qui lui procurent son arôme particulier.
La production de genièvre trouve aussi ses origines en Italie au XVème
siècle, où le genièvre était utilisé comme plante médicinale.
Cette utilisation s’est développée en Hollande au début du XVIIème
siècle, où la version alcoolisée du genièvre était vendue dans les
pharmacies.
Les historiens de l'alimentation et de la boisson considèrent que la
distillation du genièvre par les Hollandais constitue la genèse de
l'ère des alcools forts, les "eaux de vie" en Europe.
Les hollandais à l'époque revendaient de l'alcool pur ou du mauvais
vin portugais coupé à l'alcool pur de genièvre aux Anglais.
Les soldats anglais basés en Hollande découvrent le genièvre lors de
la Guerre de 30 ans (1618 - 1648).
Cette boisson alcoolisée locale à base de genévrier leur étant
servie avant la bataille d’où l’expression anglaise “Dutch courage”.
À leur retour de la guerre, ils ramènent le genièvre avec eux.
En 1688, le monarque hollandais Guillaume d’Orange accède au trône
anglais: le genièvre devient la boisson en vogue à la cour.
Les premières distilleries anglaises apparaissent à Londres à la fin
du XVIIe siècle et produisent un alcool proche du Genever
qui est baptisé "Gin" et s'internationalise rapidement.
En 1730, dans certains quartiers de Londres, et en particulier à St
Giles autour d’Oxford Circus, 1 foyer sur 3 produit et vend du gin,
une version populaire du genièvre perçue comme l’alcool du pauvre.
L’annuaire du Commerce de la City de Londres, de Westminster et de
Lambeth répertorie 40 distilleries de gin et de malt, en 1794, 90%
de la production de gin émanant de Londres.
Grâce à l’invention d’un nouvel alambic à débit continu en 1832, les
distillateurs sont en mesure de créer un alcool beaucoup plus pur,
qui leur permet de limiter l’ajout en sucre.
Un nouveau type de gin plus aromatique apparaît alors sous le nom de
"sec londonien", par opposition au gin sucré.
La saveur du gin ordinaire est devenu aujourd'hui celle d'un alcool
très sec, ce qui fait qu'on le boit rarement pur et qu'on le
retrouve surtout dans la composition de nombreux cocktails quand il
n'est pas déjà commercialisé dans une version aromatisée .