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 Rôti de porc au miel
         et aux marrons

 

 

 

 

 

 

 

Editio princeps

Préparation simple et abordable d'un rôti exquis, pour table en fête.

 

 

 

 

 

 

 

   Dans les verres, un vin doux naturel ou encore un vin de liqueur... mais très vieux ! tels que rivesaltes, banyuls, floc de Gascogne, ratafia, tous hors d'âge.
C'est quand même la fête.!!


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Ingrédients pour 6 convives

  • 1 rôti de porc de ± 1 kg - taillé dans le filet

  • 1 boîte de marrons cuits

  • 3 cuillères à soupe de miel

  • 60 g de beurre

  • Sel & poivre

Indications de préparation

  • Préchauffer le four à 24°c - Th 8.

  • Placer le rôti bien au centre d'un plat allant au four puis le badigeonner de miel.
    Saler, poivrer et parsemer de beurre coupé en petits morceaux.
    Ajouter un peu d'eau froide et faire cuire pendant 60 min.
    Arroser régulièrement avec le jus en cours de cuisson, retourner le rôti en milieu de cuisson afin qu'il soit bien doré et s'imprègne du jus de cuisson au miel.

rôti de porc

  • Rincer rapidement les marrons, les éponger et les émietter.
    Au bout des 60 min, les disposer autour et sur le rôti, les mélanger au jus de cuisson, saler et poivrer.

  • Remettre au four pour 30 min en diminuant la température de cuisson - Th 6 - et en arrosant le tout de jus de cuisson de temps en temps.

  • Servir le rôti de porc au miel en tranches fines dans des assiettes chaudes de préférence.
    Parsemer de brisures de marrons et l'arroser avec le jus de cuisson au miel.



 

 

 

 

 

 

 

Dans les Mabinogions - récits médiévaux, rédigés en gallois du XIIe siècle au XVe siècle, le porc apparait progressivement comme un animal mythique.
Par ailleurs, ce fut aussi l'un des aliments de base chez les Celtes qui le consommaient bouilli. Cet animal participa à la renommée des "Gaulois", dès lors que ces derniers acquirent une parfaite maitrise de la salaison.
Le porc breton s'inscrit dans une très longue tradition...

 

Châtaigne ou marron ?

Le célèbre marronnier de nos parcs et avenues ne produit rien de comestible.
La loi a examiné la question : Une variété de châtaigne est dite “marron” lorsqu'elle produit moins de 12 % de fruits cloisonnés. Le fruit non cloisonné accède à la dignité de marron et finit en général son existence confit et glacé, offert à la convoitise des patents, amis et relations dans une jolie boîte.
La châtaigne se contente de rester simple, “peuple”, et succulente quand même.

 

Miel - ja6

 

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La châtaigne


Originaire des régions méditerranéennes, le châtaignier était recherché par les Romains comme source de nourriture et de bois. Ils entreprirent de l’acclimater dans les Cévennes, mais on a produit des châtaignes dans la plupart des pays du sud de l’Europe où elles représentaient un aliment important pour nourrir les paysans plusieurs mois par an.
Les premières réelles cultures de châtaigniers sont apparues en France au XIIIe siècle. C’est en s’inspirant des techniques de greffages du Proche Orient, que les ardéchois ont commencé à exploiter la culture de la châtaigne dans leurs forêts. Séchées “à la clède”, au-dessus d’un feu sans flammes, les châtaignes pouvaient se conserver toute l’année et palier ainsi aux carences alimentaires fréquentes à l’époque. Ce fait d’histoire vaut au châtaigner son surnom “d’arbre à pain”.
L’Espagne en a exporté en abondance. On dit que celles de Madère sont les plus grosses. Plus au nord de l’Europe. Le châtaignier s’il peut atteindre une taille impressionnante, ne fructifie bien qu’après les étés chauds, il est donc plutôt planté pour son bois.
Châtaignes et marrons, 2 noms pour le même fruit. "Châtaignes" désigne un fruit plus petit. Variété de châtaigne cultivée et améliorée — le châtaignier pousse à l’état sauvage — le marron est aisément reconnaissable : sa bogue hérissée d’épines, sans cloisonnement intérieur, ne renferme qu’1 seul lobe, bien régulier et toujours bombé, alors que la châtaigne sauvage en contient plusieurs, serrés les uns contre les autres et souvent aplatis sur une face, il demeure ainsi plus présentable après l’épluchage.
Éviter de confondre avec les fruits du marronnier — les marrons d’Inde — qui
jonchent le sol à l’automne, amers et non comestibles, pour  tout dire très toxiques ...