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 Soupe aux oignons
       cuits au four

 

 

 

 

 

 

 

Une soupe contemporaine d'Écosse toute en nuances...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 





Ingrédients pour 6 convives

  • 4 oignons de taille moyenne

  • 4 belles gousses d'ail

  • 1 litre de bouillon de légumes ou de volaille

  • 1 cuillère à soupe de Nuoc-mam

  • 1 cuillère à soupe de gingembre frais - râpé

  • 2 petits piments rouges

  • Le zeste et le jus d'1 citron vert

  • 1 boîte de 40 cl de lait de coco

Indications de préparation

  • Couper les 4 oignons en 2 verticalement, sans les éplucher.

  • Les poser sur une plaque de cuisson et les cuire à four chaud, 200°c pendant 45 min jusqu'à ce qu'ils brunissent, les retourner 1 fois.

  •  15 min avant la fin de la cuisson, ajouter l'ail en chemise.
    À la fin de la cuisson, retirer les oignons du four puis retirer leur la peau.

  • Placer ces demi-oignons pelés dans une casserole, en séparant les épaisseurs, avec l'ail cuit au four épluché.

  • Ajouter le bouillon avec le Nuoc-mam, le Le zeste et le jus d'1 citron vert, le gingembre et les 2 petits piments.

  • Porter à ébullition puis laisser cuire sur feu doux pendant 20 min environ.

  • Ajouter le lait de coco et laisser frémir.

 

Réaliser soi-même le lait de coco  ...

Percer 2 trous à l'aide d'un tournevis et d'un marteau au niveau des yeux de la noix de coco. Vider le jus.
Taper très fort l'écorce avec le plat d'un couteau afin de décoller la chair. Donner un grand coup de marteau pour casser la noix de coco. 
Râper la chair dans un robot ou à l'aide d'une râpe à carotte.
Mouiller la chair râpée avec le même volume d'eau chaude. Récupérer le lait. 
Le laisser réduire 15 min sur feu doux.

 

  • Passer au mixer en plusieurs fois.

  • Servir chaud.



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le gingembre

 

 

L’âne ne peut sentir le gingembre” affirme un proverbe marocain.
La finesse de son arôme et le piquant de son goût rehaussent aussi bien la cuisine salée que la pâtisserie. Il parfume vin, bière, thé et ginger ale.

Cru ou cuit, il relève les mets fades : riz, pâtes, épinards, et même les confitures. Il réveille un bouillon de volaille ou un gratin de légumes. Râpé ou haché, il entre dans de nombreux chutneys, pickles et curries, rehausse une salade de fruits.
Mouliné, il est indispensable au “4 épices” et remplace avec bonheur le sel pour assaisonner grillades, poissons et salades vertes...



Le Nuoc Mâm

 

 

Grâce aux nombreux cours d’eau, canaux, lacs et aux 3200 km de côtes du pays, les produits aquatiques sont la principale source de protéines des Vietnamiens. Transformés sous l’action du sel marin, ils donnent des aliments caractéristiques du pays, les saumures appelées ''mam'', dont la plus connue est l’eau de poisson fermenté, le ''nuoc mâm''. Celui-ci est fabriqué de façon artisanale, en alternant, dans une grande jarre munie d’un robinet, des couches de petits poissons de mer et des couches de sel. Lorsque la jarre est pleine, on dispose des pierres pour tasser la préparation puis on ferme avec un couvercle. La jarre passe ensuite plusieurs mois en plein soleil. Le premier jus que l’on tire - un vrai nectar - est réservé pour les grandes occasions.
On ajoute de l’eau pour obtenir le second jus. Le résidu solide servira d’engrais. Le meilleur nuoc mâm est fabriqué dans la région de "Phan Thiêt", du côté de Saigon, et le plus courant à "Phu Quôc", une île du sud du pays. Cette sauce sera ensuite utilisée comme condiment, à table, pour relever la saveur des plats, ou intégrée dans la composition d’une recette, un peu comme de la sauce soja.
Elle est un élément essentiel de la cuisine vietnamienne en particulier, et asiatique en général...