Blanc de poulet au thé
L’on
pourra aussi préparer ce plat avec un thé parfumé aux épices…
Ingrédients pour 4 convives
4 Blancs de poulet
1 cuillère à soupe de thé vert de Chine
1 cuillère à soupe de noilly : vermouth
1 cuillère à soupe d'huile d'arachide
1 citron jaune - non traité
1 gousse d'ail
Sel & poivre
Indications de préparation
Râper le zeste du citron au-dessus d'un bol. Presser le fruit et ajouter 2 cuillères à soupe de jus dans le bol.
Peler la gousse d'ail, la presser au-dessus du bol et ajouter le sel.
Mélanger bien le tout et en badigeonner les blancs de poulet.
Faire chauffer l'huile dans une poêle, ajouter les feuilles de thé et mélanger pendant 1 min à l'aide d'une cuillère en bois.
Disposer alors les blancs dans la poêle et les faire cuire sur feu vif pendant 10 min, en les retournant à mi-cuisson.
Retirer les blancs de la poêle, verser le noilly et laisser chauffer pendant 2 min, puis remettre les blancs dans la poêle, poivrer et faire cuire pendant encore 2 min de chaque côté.
Servir le poulet bien chaud, nappé du jus de
cuisson et accompagné de petites tomates cuites au four ou
encore d'une poêlée d'épinards.
Depuis l’Égypte antique, l’ail est apprécié pour
ses vertus médicinales : il entrait déjà dans la composition de 22
des 800 potions décrites dans le ''Codex Ebers'', un papyrus rédigé
1550 ans avant notre ère.
Remède universel à l'époque de Ramses II. Les bâtisseurs de
pyramides recevaient 1 gousse d'ail par jour pour ses propriétés
toniques...
Autrefois, à Draguignan, ses gousses étaient rôties sur les feux de la Saint-Jean allumés dans toute la ville, avant d’être ensuite partagées entre tous les habitants.
Autrefois, le vermouth, vin aromatisé d'herbes et
d'épices, n'était guère considéré comme une boisson digne d'intérêt,
mais il a une longue tradition. Son nom, qui vient du vieux haut
allemand werimouta désigne une substance végétale amère
stimulant l'estomac mais peu agréable au goût.
Les choses changèrent complètement lorsque Antonio Carpano offrit
aux clients d'un bar de Turin, en 1786, l'une de ses créations qu'il
appelait vermouth.
Cette nouvelle boisson suscita l'enthousiasme. Carpano venait de
réussir non seulement â ennoblir un vin blanc régional avec un
mélange d'herbes particulièrement raffiné et strictement secret mais
aussi à transformer l'image du vermouth en le vendant désormais
comme un vin de luxe...
Cette idée trouva l'adhésion des concurrents de Carpano.
Peu après, d'autres producteurs de spiritueux, Cinzano le premier,
commencèrent â fabriquer ce vin liquoreux aromatisé. Martini & Rossi
arriva sur le marché en 1863 avec sa propre version du vermouth.
D’autres firmes piémontaises comme Gancia et Cora suivirent...