Jarret de veau laqué
Dans les verres,
un bergerac, voire un irouléguy rouge
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Ingrédients pour 6 convives
1 jarret de veau de ± 1,8 kg
1 gros morceau de gingembre : ± 30 g
1 carotte
1 blanc de poireau
3 cuillères à soupe de fond de veau en poudre
1 bouquet garni
1 cuillère à soupe de poivre en grains
Pour la laque
4 cuillères à soupe de miel liquide
6 cuillères à soupe de sauce soja
Indications de préparation
Peler le gingembre et le couper en cubes.
Nettoyer le blanc de poireau, éplucher la carotte et la couper en 4.
Faire bouillir de l'eau dans une grande
cocotte.
Ajouter le gingembre, la carotte, le poireau, le bouquet garni,
le fond de veau et les grains de poivre.
Plonger le jarret dans le bouillon, écumer au
bout de 5 min, puis régler le feu pour que le liquide frémisse.
Couvrir à demi et laisser "frémir" pendant 2 h.
Passé ce temps, préchauffer le four à Th 8 - 240°c.
Égoutter le jarret, vider la cocotte en réservant le bouillon. Poser le jarret debout dans la cocotte.
Dans un saladier, mélanger le miel et le
soja.
Badigeonner le jarret avec un peu de ce mélange à l'aide
d'un pinceau.
Verser 1 petite louche de bouillon au fond de la cocotte et enfourner à découvert pour ± 30 min.
Durant la cuisson au four, sortir régulièrement la cocotte pour enduire le jarret avec le mélange au soja, afin qu'il caramélise.
Servir très chaud.
Tentation… le bouillon de veau !
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Pourquoi les fabricants de pâtes
alphabet se sont-ils embêtés à créer 36 formes de pâtes -
considérant les 26 lettres de l’alphabet et les 10 chiffres,
bien que l’on puisse supposer que le zéro et le O se
confondent - donc disons 35 formes de pâte? |
La sauce soja, préparation de couleur brun foncé,
est à la base de nombreux assaisonnements japonais.
Inventée pour préserver les aliments durant les mois chauds d’été,
son goût fut tellement apprécié et devint si populaire que son
emploi s’est répandu tout au long de l’année.
Il existe de nombreuses variétés de sauce soja de nos jours et il est difficile de choisir parmi tous les produits chinois et japonais.
La sauce japonaise ''Kikkoman'' est un produit
naturel fermenté, fait seulement de soja, de blé et de sel. La
version classique est la plus populaire. De couleur rouge foncé et
un arôme très riche, on l’utilise aussi bien en condiment pour la
table que dans la préparation de mets. Les procédés de fermentation
sont les mêmes que les
sauces soja chinoises, mais la version japonaise contient moins de
blé et ne fermente que 6 mois. Elle est moins salée, légèrement
sucrée et toujours plus claire qu’en Chine, même dans sa variété
foncée. La sauce Kikkoman existe en différentes versions. L’une
d’elles, la ''Light Color Soy Sauce'', est légèrement plus
salée que la sauce classique. D’une couleur plus claire, les autres
ingrédients d’un plat gardent ainsi leur couleur à la cuisson. On
s’en sert autant pour cuisiner, que comme condiment.
Les sauces Kikkoman sont fabriquées dans la ville de Noda, au Japon,
près de la rivière Edo qui servit pendant des siècles de route de
transport jusqu’à Tokyo. En 1917, 8 sociétés familiales se
regroupèrent afin de former la compagnie
''Noda Shoyu'', prendra le nom de ''Kikkoman Shoyu'' en 1964, puis
de ''Kikkoman Corporation'' en 1980. Ses produits sont aujourd’hui
exportés dans le monde entier... - 2009
“
La finesse de son arôme et le piquant de son goût rehaussent aussi
bien la cuisine salée que la pâtisserie. Il parfume vin, bière, thé
et ginger ale.
Mouliné, il est indispensable au “4 épices” et remplace avec bonheur
le sel pour assaisonner grillades, poissons et salades vertes...