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 Boulettes tartares - Çig köfte

 

 

 

 

 

 

 

L’on pourra accompagner ces délicieuses boulettes de lamelles d'oignon et d'un filet de citron …

 

 

 

 

 

 

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Ingrédients pour 4 convives

  • 300 g de hachis de veau ou de steak haché à 5% mg

  • 200 g de boulghour fin

  • 2 oignons

  • 3 gousses d’ail

  • 1 botte de persil plat

  • 2 cuillères à soupe de purée de tomates

  • Paprika

  • 1 salade romaine

  • 1/2 citron

  • 11/2 oignon rouge – facultatif

  • Sel & poivre

Indications de préparation

  • Placer le boulghour dans un saladier et l’arroser avec 1 verre d'eau.
    Le laisser absorber le liquide pendant ± 30 min.

  • Éplucher les oignons et l'ail.
    Les couper très grossièrement.
    Les passer au mixeur.

  • Laver le persil, l’équeuter et l’ajouter aux oignons dans le bol du mixeur.
    Ajouter également la purée de tomates.
    Mixer encore très rapidement.

  • Ajouter le boulghour.
    Saler, poivrer, saupoudrer de paprika selon le goût du jour….
    Passer le tout au mixeur pendant 1 min.

steak haché

  • Mélanger la préparation à la viande hachée.
    Lorsque tout est bien mélangé, façonner de petites boulettes à la main.

  • Laver la romaine en séparant bien les feuilles.

  • Poser les boulettes sur les feuilles bien essorées.

  • Déguster froid.

 




 

 

 

 

 

 

 

 

Pour les femmes turques, la cuisine est un Art et une affaire de famille.
Comme dans tous les pays méditerranéens, c'est une cuisine de mères dont les recettes sont souvent jalousement gardées. En tout point exquise, la cuisine turque bénéficie des raffinements de la cuisine ottomane et d'une multitude d'influences étrangères.
Elle tient aujourd'hui de ses origines : nomade avec l'utilisation du yaourt et de la viande grillée, agricole avec la présence du boulgour et de céréales, aristocratique comme en témoignent le façonnage délicat de farcis, feuilletés et desserts.
Riche, variée, très colorée, elle fait largement appel aux : légumes : aubergines et courgettes notamment, fruits, céréales : riz et blé, et à l'huile d'olive.
Les légumes sont cuisinés avec de la viande afin d'obtenir un repas complet ou simplement avec de l'huile d'olive. Le repas turc se compose généralement d'un plat chaud, accompagné souvent de riz, suivi d'un légume à l'huile d'olive.
Les plats sont censés mettre en valeur la saveur de l'ingrédient principal et non la masquer sous des sauces et des épices. Herbes et épices d'ailleurs sont utilisées avec parcimonie et grande originalité.
La cuisine turque est excellente pour la santé, proche des recommandations du régime crétois qui participe à la diminution des risques de cancers et de maladies cardiovasculaires…

 

 

Accès au site Original - ex - cuisine-collection.com , devenu :  ja6.free.fr

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bulgur ou boulghour


C’est en Anatolie que l'une des 2 espèces primaires du blé est passée de l’état sauvage à l'état cultivé.
Au fil du temps, l'Anatolie est devenue un extraordinaire grenier à blé.
Le bulgur ou boulghour est une sorte de gruau obtenu à partir de blé concassé, bouilli et séché. Il est utilisé cuit comme garniture de la viande hachée ou des kebabs, ou préparé en plat principal avec des légumes: tomates, oignons, piments, poivrons... et des cubes de viande.
La semoule de bulgur, plus fine, est utilisée dans un mélange d’ingrédients, et est servie crue ou frite, en salade ou dans les soupes. Cet aliment originaire du Moyen-Orient existe depuis ± 4 000 ans. Il est l’un des premiers exemples de transformation des aliments dans l’histoire de l’humanité.

Transformer le blé en bulgur permettait, à l’origine, de le conserver plus longtemps et de le cuire plus rapidement, tout en lui conférant un petit goût de noisette.
Le traitement du bulgur se fait collectivement les femmes se regroupent pour concasser le blé, le bouillir et le mettre à sécher sur les toits. Le travail s’effectue selon un rythme régulier et achevé.
Le bulgur est un produit très naturel pour lequel on n’utilise ni additif ni conservateur. Il contient davantage d’éléments nutritionnels que le riz.

 


Le paprika

Utilisé pour assaisonner et garnir un grand nombre de plats, le paprika est une poudre faite de poivrons rouges moulus. Les poivrons (ou piments doux) nécessitent d’être moulus en plusieurs fois pour obtenir la bonne texture. Le parfum du paprika peut être doux, relevé jusqu’à très piquant, et sa couleur aller d’un rouge orangé brillant au rouge sang.

On trouve du paprika d'Espagne, d'Amérique du Sud, de Californie, mais celui de Hongrie est de qualité supérieure. La cuisine hongroise utilise couramment cette épice depuis plus d' 1 siècle. D'ailleurs le paprika qualifie à la fois le piment doux de Hongrie qui sert à fabriquer le condiment, et le condiment lui-même.

On ne connaît pas précisément l'origine du paprika.
Il est possible que Christophe Colomb l’ait ramené d’Amérique, car le poivron fit son apparition en Espagne dès la fin du Moyen Âge. On le trouva ensuite en Italie, puis chez les Turcs qui l'introduisirent dans les Balkans au XVIe siècle. On pense qu’il fut cultivé en Hongrie par des jardiniers bulgares qui étaient nombreux à s’y rendre.

La première mention de l’usage du paprika rouge date de 1748. Certains prétendent que le paprika en poudre est précisément une invention hongroise, sans que  l’on en ait l'absolue certitude !