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 Jus de gingembre - Djindja 

 

 

 

 

 

 

 

Découvrons l’Afrique Noire, dans son immense diversité, qui offre, entres autres, aux gourmets, bonne chère, plats délicats et qui, contrairement aux à priori, sont souvent simples à réaliser avec un minimum de connaissances et de savoir-faire. 

 

 

 

 

 

 

 

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Ingrédients pour ± 2 litres

  • 150 g de gingembre frais

  • 5 gouttes d'extrait de vanille

  • 5 cl de jus de citron pressé

  • 6 cuillères à soupe de sucre en poudre

  • 1 litre de jus d'ananas

  • Feuilles de menthe fraîche

Indications de préparation

  • Couper le gingembre en petits morceaux sans retirer la peau puis le laver à grande eau.

  • Le mixer avec 50 cl d’eau.

  • Verser la mixture dans une fine passoire conique au-dessus d'un grand récipient afin de recueillir le jus.

  • Presser la pulpe restée au fond du chinois pour en extraire tout le jus.

  • Verser sur la pulpe 50 cl d’eau à nouveau.

  • Ajouter à la préparation 1 litre de jus d’ananas, le jus de citron pressé, le sucre en poudre, l'extrait de vanille et quelques feuilles de menthe.

  • Servir très frais ! 




 

 

 

 

 

 

 


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Le gingembre

 

 

"L’âne ne peut sentir le gingembre" affirme un proverbe marocain.
La finesse de son arôme et le piquant de son goût rehaussent aussi bien la cuisine salée que la pâtisserie. Il parfume vin, bière, thé et ginger ale.

Cru ou cuit, il relève les mets fades : riz, pâtes, épinards, et même les confitures. Il réveille un bouillon de volaille ou un gratin de légumes. Râpé ou haché, il entre dans de nombreux chutneys, pickles et curries, rehausse une salade de fruits.
Mouliné, il est indispensable au “4 épices” et remplace avec bonheur le sel pour assaisonner grillades, poissons et salades vertes...

 


L'ananas

Les Indiens Tupis l’appelaient nanae qui signifie parfum. Cultivés et sélectionnés dans la nature par les Indiens d’Amérique centrale depuis des millénaires, ces fruits firent sensation parmi l’équipage de Christophe Colomb, en 1493.

Des motifs en ananas furent repris par les artistes européens, parfois déformés, sur des pommeaux et des poignées...
En 1550, des ananas conservés dans du sucre étaient expédiés en Europe comme une friandise luxueuse, exotique et lucrative.

Fin XVIe, l’ananas s’était répandu jusqu’en Chine, aux Philippines et acclimaté à Java. Il colonisa peu après la côte ouest de l’Afrique.
En 1686, un Hollandais du nom de Le Cour parvint à le cultiver sous serre et, en 1690, il approvisionnait déjà les horticulteurs anglais.

L’engouement pour les ananas fut tel que les jardiniers les cultivèrent jusqu’en Écosse, sous serre, sur couches chaudes et profondes, fertilisées au fumier de cheval. En 1702, Louis XIV put goûter un ananas mûri dans les serres du château de Choisy-le-Roi !

3 principales variétés :

Cayenne lisse, le plus courant. En dépit de son nom, il vient de Côte d’ivoire et du Cameroun.

Gros fruit, il peut peser plus de 3 kg — à chair ferme et jaunâtre, juteux et sucré, importé de Martinique et d’Afrique du Sud, aux feuilles épineuses, à chair jaune plus pâle, mais ferme, sa saveur est plus douce que le Cayenne.

Red spanish, originaire du Cameroun, généralement rond à chair blanche et peau légèrement rougeâtre, particulièrement savoureux.