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 Brochette d'espadon
        à la menthe
 

 

 

 

 

 

 

Servir avec un riz basmati aux petits légumes.

 

 

 

 

 

Si l’on utilise des brochettes en bois, les laisser tremper dans de l’eau la nuit précédente, afin d’éviter qu’elles ne noircissent lors de la cuisson…

 



Ingrédients pour 6 convives

  • 6 Darnes d’espadon

  • 4 Cuillères à soupe d’huile d’olive

  • Jus et zeste d’ 1 citron jaune non traité 

  • 1 Barquette de champignons de Paris

  • 1 Gros poivron rouge

  • 3 Cuillères à soupe de menthe séchée

  • Sel & Poivre

Indications de préparation

  • Allumer le barbecue ou préchauffer le gril du four.

  • Couper les darnes d’espadon en morceaux de 4 cm d’épaisseur.

  • Mélanger l’huile d’olive avec le zeste, le jus de citron, la menthe, le sel et le poivre dans un plat creux.

  • Déposer les morceaux d’espadon.
    Laisser mariner 1 h au réfrigérateur en retournant le poisson de temps en temps.

  • Laver et essuyer le poivron.
    L’épépiner et le couper en carrés.

  • Brosser et essuyer les champignons, éliminer les pieds. 

  • Enfiler le poisson sur 4 brochettes, en alternant le poisson. les champignons et le poivron.

  • Badigeonner les légumes de la marinade.

  • Faire griller les brochettes 8 min en les retournant souvent.  

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

La brochette est un produit plébiscité.
Celle-ci a très nettement une connotation festive et "vacances".
On consomme des brochettes généralement à l'extérieur et en été.
Retrouver cette ambiance à l'intérieur et en hiver est généralement apprécié, à condition de rappeler le contexte à travers le décor mais surtout l'atmosphère.
Au niveau du décor, l'on recherche la convivialité, la petite fête, alors il doit être chaud, simple et rustique.
La présence d'un bar à cocktails serait appréciée.
Le vin peut être "au tonneau", mais la présentation des brochettes doit être esthétique : présentation en ligne, en épis, en volutes et jeu de couleurs...

La plupart des brochettes peuvent être réaliser, au four position gril, en appartement.

Pour un repas composé spécifiquement de brochettes, l'idéal reste de présenter une grande variété de brochettes avec une taille telle, que l'on puisse raisonnablement en consommer 5 ou 6 pour pendant l'ensemble du repas.

Il ne s'agit plus de proposer les grosses brochettes des restaurants grecs ou les mini-brochettes des Japonais.
Le repas entier peut être présenté sous forme de brochettes:
Entrée, plat principal et dessert.
Le plat principal sera choisi parmi des brochettes de viande rouge, d'abats, de poisson, de fruits de mer (crus ou cuits), de merguez, de saucisses, de volaille, avec des légumes embrochés.
À côté de ces brochettes, on souhaite  une grande variété de salades et surtout des sauces et condiments en libre service.
L'objectif est de pouvoir combiner facilement différentes saveurs, de réaliser des mariages de goûts connus ou surprenants.
À la rigueur, on admet les légumes chauds tel que le riz ou les pommes de terre, mais les frites sont définitivement rejetées dans ce thème.

 

 

 

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L'espadon

 



L’espadon - Xiphias gladius - poissons perciformes dont la mâchoire supérieure, allongée en forme de lame d'épée, atteint environ 1/3 tiers de la longueur du corps. Il pèse un maximum de 415 kg pour une longueur de 4, 5 m. L'espadon est dépourvu d'écailles, bleu foncé sur le dos et blanc sur le ventre. Rapide et puissant, c'est un prédateur des mers chaudes et tempérées.  Il vit des 2 côtés de l'Atlantique. Grand voyageur, on le pêche dans les eaux pré-côtières et hauturières à la palangre ou au harpon.
L'espadon est vendu frais en darnes, fumé ou en conserve. La queue et les ailerons sont comestibles.
Il est délicieux grillé, braisé ou cuit à la poêle, mariné ou non. L'espadon frais devient plus digeste s'il est poché avant d'être apprêté. On le cuisine à la façon des poissons à chair ferme. Riche en vitamine B12, en niacine, en potassium et phosphore, sa chair est très recherchée...

 


 


 

Il est acquis que consommer du poisson 2 fois par semaine en alternant gras et maigre est bon pour notre santé. L'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) le confirme mais elle a émis ultérieurement un avis resté étonnamment discret, invitant à se méfier des poissons prédateurs. Arrivant en fin de chaîne alimentaire, ils sont susceptibles de contenir en excès un composé toxique pour le système nerveux, le méthylmercure. L'Afssa recommande désormais aux enfants de - de 30 mois et aux femmes désirant un enfant, enceintes ou allaitant, de ne plus manger d'espadon, de marlin et de siki (de la famille des requins).
Les autres prédateurs : anguille, daurade, empereur, grenadier, raie, mulet ou rouget-barbet, roussette, saumonette, sabre, baudroie, sardine, sébaste, émissole et thon, sont à limiter à 60 g par semaine pour les jeunes enfants et 150 g pour les femmes citées ci-dessus, en plus de leur consommation habituelle de poisson non prédateur. En attendant de retrouver une mer plus propre...