Logo

 

  Galette charentaise 

 

 

 

Dans ce pays de Saintonge elle est également appelée galette "Goulebenèze", la galette charentaise se différencie de ses 2 cousins, le gâteau de Surgères et le broyé du Poitou, par une texture plus moelleuse.

Riche et dorée, elle orne les tables de fêtes depuis plusieurs siècles. On la dégustait autrefois lors des mariages, communions et autres festivités villageoises...

 

 

 

 

 

 


Ingrédients pour 6 gourmands

  • 250 G de farine de froment  

  • 250 G de farine de maïs

  • 50 G de sucre cristallisé

  • 200 G de beurre + 20 g de beurre pour la tourtière

  • 2 Gousses de vanille fendues en 2

  • 250 G de sucre semoule

  • 4 Œufs

  • 1 Pincée de sel

Indications de préparation

  • Beurrer à l'aide d'un pinceau l'intérieur d'une tourtière. Garder au froid.

  • Mélanger les graines des 2 gousses de vanille avec le sucre semoule : 250 g.

  • Casser les 4 œufs dans un saladier. 

  • Battre et ajouter le sucre vanillé et la pincée de sel.

  • Fouetter jusqu'à l'obtention d'un mélange lisse et crémeux.

  • Incorpore progressivement les 2 farines tamisées. Ajouter le beurre mou. Mélanger.

  • Verser la préparation dans la tourtière beurrée. Effectuer le quadrillage sur la surface, à l'aide d'un couteau. Saupoudrer le dessus de sucre cristallisé : 50 g.  

  • CUISSON à four chaud, Th 5, 180°c, pendant 15 à 20 min. La galette doit être dorée. 

 


 

 

 

 

 

Accès au site Original - ex - cuisine-collection.com , devenu :  ja6.free.fr

 




 

 

 

 

 

 

 

 

La vanille

 

 

La vanille, sorte d’orchidée tropicale très peu odorante à la fleur blanche et au fruit vert. Il faut la cueillir à peine mûre, la plonger dans l’eau bouillante ou l’exposer au soleil. Cela lui donnera une couleur marron très foncé.

 

Cette ''épice'' nous vient des Aztèques. C’est après la conquête de Mexique par les espagnols au XVIe siècle, que l’Occident découvre la vanille. Les Aztèques l’utilisaient déjà pour parfumer le chocolat. Les premiers plants de vanille furent introduits à Tahiti en 1848 par l'amiral Hamelin, capitaine de la frégate La Virginie. Mais ce n'est qu'en 1880 que la production s'intensifia, devenant l'une des activités principales des îles polynésiennes...