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 Zuppa de cozze e vongole
       Soupe aux moules et aux praires
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Ingrédients pour 4 convives

  • 2 Gousses d’ail

  • 4 Cuillères à soupe d’huile d’olive

  • 500 g de moules 

  • 500 g de praires

  • 1 Verre de vin blanc sec

  • 3 Cuillères à soupe de persil - haché

  • Eau ou court-bouillon

  • 4 Tranches de pain grillé

  • Poivre

Indications de préparation

  • Hacher fin les 2 gousses d’ail quelques heures avant de commencer la préparation et mélanger avec l’huile d’olive.

  • Laver les coquillages, gratter les moules, jeter les coquillages déjà ouverts.

  • Chauffer  l’huile d’olive dans un faitout et faire revenir l’ail, sans le laisser colorer.
    Mettre les moules et les praires dans le faitout et laisser cuire sur feu doux, un moment...

  • Mouiller avec le vin blanc, ajouter le persil et laisser cuire jusqu’à ce les coquillages soient ouverts. 

  • Jeter ceux qui ne s’ouvrent pas. Ajouter un peu d’eau ou de court-bouillon, si nécessaire.

  • Placer les moules et les praires dans  un plat et filtrer le jus de cuisson afin d’enlever le sable.

  • Remettre les coquillages dans le jus.

  • Disposer des croûtons dans des assiettes creuses et verser la soupe de coquillages dessus.

  • Poivrer et servir chaud.

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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La moule

 



1235, un marin Irlandais, Patrick Walton, fait naufrage sur la côte de Charente. À la nage il gagne le rivage de l’Aiguillon. Dans le but d’attraper quelques oiseaux sauvages, il plante dans l’eau des pieux, reliés par des branchages.

Ce furent des moules qui se fixèrent sur les branches.

Bouchot : ''Bout choat'' en gaélique, faisceaux de branchages.
Elles furent Jugées nettement meilleures que celles ramassées dans les rochers. La Mytiliculture était née !



La praire

 

 

Le nom savant de la praire, ''Vénus Verrucosa'', Vénus à verrue, en fait la sœur disgracieuse de la coquille Saint-Jacques que les Romains appelaient la Vénus, tout simplement.

La praire, est une proche parente de la palourde, mais plus onéreuse. Sa coquille oscille du blanc crémeux au gris-jaune selon leur provenance. Épaisse et lourde, elle s’orne de stries profondes et abrite une chair aussi délicate que savoureuse. Bref, un mollusque lamellibranche comestible, des sables littoraux, à coquille bivalve striée.

Sa pêche de septembre à fin avril est très réglementée, les gisements des côtes de la Manche se raréfie. La praire met 7 ans à devenir adulte...

Un coquillage extrêmement fin. Les amateurs préféreront déguster les praires crues, nature... comme les huîtres, mais en automne!