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 B & B - 1910s 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

This original and classic B and B drink’s delicate herbal flavor is a sensual and seductive experience as its long and smooth after taste is simply heaven.
Créé à New York au Club 21 en 1936, B & B signifiant Brandy & Bénédictine.
Autrefois bar clandestin à l'ambiance glamour, le 21 Club, 'twenty-one', est aujourd'hui l'un des restaurants les plus exclusifs de New York.
Outre ses 2 restaurants, le Bar Room et son 'Upstairs', cet hôtel particulier de 3 ét. situé au cœur de la ville, compte 10 salles à manger privées ainsi que sa célèbre cave secrète du temps de la Prohibition.
Depuis son ouverture en 1929, la fête bat toujours son plein au 21 Club. Folklore et business.
The 21 Club, which opened in 1929, is owned by luxury hospitality company Orient-Express. It recently completed a $1.7 million renovation, adding a bar with stools for the first time to the entrance of the restaurant. - 2013
Mais, dommage pour le Twenty-One, l’association des 2 ingrédients apparaît déjà en 1913 dans le magazine The English Review édité par le romancier anglais Ford Hermann Hueffer alias Ford Madox Hueffer, grand ami d'Hemingway.
L'heureuse association entre cognac et Bénédictine de ce cocktail digestif fut un réel succès... rapidement mis en bouteille puis commercialisé sous le nom de liqueur B & B par la marque Bénédictine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ingrédients pour 1 cocktail

  • 4 cl de Cognac ou Brandy

  • 4 cl de Bénédictine

  • 1 Rondelle de citron

  • 1 Pincée de cannelle

Indications de préparation

  • Verser la Bénédictine et le Cognac dans un verre à mélange.
    Ajouter la cannelle et remuer.

  • Verser la préparation dans un verre à dégustation.
    Ajouter 1 rondelle de citron et servir sans attendre.

 

 

 

 

 

A shooter is an alcoholic mixed drink that contains between 25 ml and 100 ml of two or more spirits.

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lorsque l’on prépare les cocktails directement dans le verre, verser toujours les alcools les moins forts en premier, sauf indication contraire.
Utiliser de la glace préparée en gros cubes, que ce soit pour agiter ou pour servir.

Les cocktails doivent être servis glacés. Placer les verres vides dans le réfrigérateur ou dans le freezer 1 h avant de servir.
Ne pas oublier que les cocktails, s’ils doivent être bons, doivent aussi être agréables à l’œil. Décorer avec des cerises à cocktail qui sont le plus souvent au marasquin, des olives farcies, des tranches de fruits frais, des brins de menthe, et des oignons à cocktail : petits oignons au vinaigre blanc.
Utiliser des oranges et des citrons non traités.

Afin d’améliorer encore la présentation de vos cocktails, givrer les verres : passer le bord des verres dans du jus de citron, puis les retourner sur une soucoupe contenant du sucre ou du sel fin pour les cocktails à base de tequila.
1 trait correspond généralement à  3 à 5 gouttes de liquide

 

 

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La Bénédictine

 


 

C’est au cœur de la Renaissance, en 1510, qu'un moine herboriste bénédictin de l'abbaye de Fécamp, Dom Bernardo Vincelli, mis au point une liqueur à base de plantes locales et d'épices exotiques.
Cet "élixir de santé" connut un grand succès... puisqu'on l'imagine très appréciée à la cour du roi François 1er. Sa production s'arrête à la Révolution, comme beaucoup d'autres produits fabriqués dans les monastères, et la recette sombre dans l'oubli.
± 90 ans plus tard, Alexandre Le Grand, négociant en vin et industriel normand, redécouvre la recette consignée dans un grimoire des archives familiales, par le moine - les historiens restent circonspects - et cherche à la déchiffrer puis à l'actualiser, avec l'aide d'un pharmacien...

L' "élixir de santé" devient Bénédictine.
Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son deuxième créateur à lutter contre les contrefaçons.
Il obtient, dans le même temps du pape, le droit d'utiliser le nom, les armes de l'abbaye bénédictine de Fécamp ainsi que sa devise "Deo Optimo Maximo": D.O.M. qui figure sur les bouteilles - À Dieu, le meilleur, le plus grand -
Belle idée marketing!

On dénombrerait + de 27 épices et aromates dans sa composition mais la recette précise est gardée secrète - bien sur - par les moines de l'Abbaye de Fécamp.
Entrent dans sa composition : gousses de vanille, zestes de citrons macérés dans l'alcool, du safran, de la liqueur de miel d'acacia pour la couleur... entres autres.
De macération en distillation, de chauffage, filtrage en vieillissement, il faut 2 ans pour fabriquer la liqueur qui titre 43°quand même.
Toujours est-il, qu’elle révèle un arôme distinctif d’épices et d’agrumes, avec des notes de fraîcheur, adoucies par un soupçon de miel.
On l’apprécie à l’apéritif ou en fin de repas… - 2008