Logo

 

 Orange Negroni - 1910s 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un cocktail raide et acidulé, de belle couleur.
Une ambiance d’orange autour du trop classique “Negroni”.
Classe, courtoisie et séduction…

 

comte Camillo Negroni,Le comte Camillo Negroni, playboy italien, finalement père d'un enfant illégitime décide d'émigrer aux U.S.A et devient un cattle rancher: grand éleveur de bétail...
La nostalgie aidant, il rentre en Italie en 1912 et s'installe à Florence, où très vite il fréquente de nombreux cafés de la ville...
Le café "Casoni" était, à cette époque, le lieu où l’aristocratie florentine se retrouvait le soir, avant de dîner.
Le comte Camillo Negroni avait coutume de s'y rendre et de consommer un Americano. Toutefois Mr le comte, amateur de cocktails, ennuyé de boire toujours le même cocktail, décida de varier son Americano.
Il proposa au barman, de renforcer l’apéritif en conservant les mêmes ingrédients, mais en remplaçant l'eau gazeuse par du gin que, par ailleurs, le comte avait découvert lors de voyages à Londres.

Fosco Scarselli

Le succès remporté par ce cocktail fut immédiat dés 1919. Tous les clients du Café Casoni voulaient goûter cet "Americano avec du gin".
Le barman Fosco Scarelli lui donna rapidement le nom de son inventeur, "Negroni", pour d'honorer Mr le comte et surtout afin d'abréger l'appellation trop longue d' "Americano avec du gin".
Ce cocktail fit le tour du monde et s'imposa parmi les plus grands cocktails internationaux.

 

Negroni
Mettre 2 glaçons dans un verre tumbler. Ajouter 4/10 de gin, 3/10 de vermouth rouge (Martini par ex.) et 3/10 de Campari dans le verre. Remuer à l'aide d'une cuillère à mélange. Ajouter 1/2 rondelle d'orange dans le verre et servir aussitôt.

Either dry currants
Mettre quelques glaçons, 4/10 de gin, 4/10 de vermouth rouge et 2/10 de sirop de cassis dans un verre tulipe. Remuer er servir.

Guardian
Mettre quelques glaçons, 5/10 de gin, 3/10 de vermouth rouge et 2/10 de liqueur de cerise dans un verre à mélange. Remuer et passer dans un verre à cocktail.

Jockey Club cocktail
Mettre quelques glaçons, 5/10 de gin, 3/10 d'Amaretto, 1/10 d'Angostura bitter et 1 trait de Campari (1/10) dans un shaker. Frapper et  passer dans un verre à cocktail.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Ingrédients pour 1 cocktail

  • 7 cl de gin

  • 3,5 cl de jus d’orange sanguine

  • 2 cl de Campari

  • 1 cuillère à café de Vermouth rouge

  • 1,5 cuillère à café de Cointreau

  • Glace concassée ou 5 glaçons

Indications de préparation

  • Verser le vermouth dans un verre à cocktail.
    Le faire tournoyer afin de tapisser l’intérieur du verre.
    Jeter l’excèdent.

  • Remplir un Shaker de glace et ajouter les autres ingrédients. Secouer.  

  • Passer le mélange dans le verre et servir immédiatement.

 

 

 

 

 

 

 

 

A shooter is an alcoholic mixed drink that contains between 25 ml and 100 ml of two or more spirits.

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Croissants au foie gras
Couper 12 mini-croissants en 2.
Déposer sur la partie inférieure 1 morceau de foie gras et 1 c à c de confiture de figues.
Faire cuire au four préchauffé à 210°c pendant environ 10 min. Servir avec le cocktail.

 

 

Lorsque l’on prépare les cocktails directement dans le verre, verser toujours les alcools les moins forts en premier, sauf indication contraire.
Utiliser de la glace préparée en gros cubes, que ce soit pour agiter ou pour servir.

Les cocktails doivent être servis glacés. Placer les verres vides dans le réfrigérateur ou dans le freezer 1 h avant de servir.
Ne pas oublier que les cocktails, s’ils doivent être bons, doivent aussi être agréables à l’œil. Décorer avec des cerises à cocktail qui sont le plus souvent au marasquin, des olives farcies, des tranches de fruits frais, des brins de menthe, et des oignons à cocktail : petits oignons au vinaigre blanc.
Utiliser des oranges et des citrons non traités.

Afin d’améliorer encore la présentation de vos cocktails, givrer les verres : passer le bord des verres dans du jus de citron, puis les retourner sur une soucoupe contenant du sucre ou du sel fin pour les cocktails à base de tequila.
1 trait correspond généralement à  3 à 5 gouttes de liquide

 

 

 

Accès au site Original - ex - cuisine-collection.com , devenu :  ja6.free.fr

 




        

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




























































Le gin

 


On attribue souvent au médecin Franciscus Sylvius un breuvage apparu aux Pays-Bas au XIVe siècle sous le nom de Genever : le genièvre, réalisé à base de grains et de baies de genévrier qui lui procurent son arôme particulier.
La production de genièvre trouve aussi ses origines en Italie au XVème siècle, où le genièvre était utilisé comme plante médicinale.
Cette utilisation s’est développée en Hollande au début du XVIIème siècle, où la version alcoolisée du genièvre était vendue dans les pharmacies.
Les historiens de l'alimentation et de la boisson considèrent que la distillation du genièvre par les Hollandais constitue la genèse de l'ère des alcools forts, les "eaux de vie" en Europe.
Les hollandais à l'époque revendaient de l'alcool pur ou du mauvais vin portugais coupé à l'alcool pur de genièvre  aux Anglais.
Les soldats anglais basés en Hollande découvrent le genièvre lors de la Guerre de 30 ans (1618 - 1648).
Cette boisson alcoolisée locale à base de genévrier leur étant servie avant la bataille d’où l’expression anglaise “Dutch courage”.
À leur retour de la guerre, ils ramènent le genièvre avec eux.
En 1688, le monarque hollandais Guillaume d’Orange accède au trône anglais: le genièvre devient la boisson en vogue à la cour.
Les premières distilleries anglaises apparaissent à Londres à la fin du XVIIe siècle et produisent un alcool proche du Genever qui est baptisé "Gin" et s'internationalise rapidement.
En 1730, dans certains quartiers de Londres, et en particulier à St Giles autour d’Oxford Circus, 1 foyer sur 3 produit et vend du gin, une version populaire du genièvre perçue comme l’alcool du pauvre.
L’annuaire du Commerce de la City de Londres, de Westminster et de Lambeth répertorie 40 distilleries de gin et de malt, en 1794, 90% de la production de gin émanant de Londres.
Grâce à l’invention d’un nouvel alambic à débit continu en 1832, les distillateurs sont en mesure de créer un alcool beaucoup plus pur, qui leur permet de limiter l’ajout en sucre.
Un nouveau type de gin plus aromatique apparaît alors sous le nom de "sec londonien", par opposition au gin sucré.
La saveur du gin ordinaire est devenu aujourd'hui celle d'un alcool très sec, ce qui fait qu'on le boit rarement pur et qu'on le retrouve surtout dans la composition de nombreux cocktails quand il n'est pas déjà commercialisé dans une version aromatisée .